Le procès de cette jeune femme doit commencer le 26 septembre. Elle est soupçonnée par le régime turc d'appartenir à une organisation clandestine d'extrême-gauche, liée à un mouvement terroriste et risque jusqu'à 32 ans de prison. Par ailleurs, sa famille a demandé jeudi de l'aide aux autorités françaises. Selon le Progrès, la présidente du comité de soutien de Sevil Sevimli a indiqué que l'avocat de la jeune étudiante était "très confiant" et estimait "à 99% que la première audience sera la dernière".
Aïe caramba !
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