Un stationnement sauvage qui a poussé la Ville de Lyon à solliciter la
préfecture pour prendre un arrêté et faire partir les gens du voyage.
Sauf que l'arrêté du préfet du Rhône, datant du 7 avril, a été annulé
par le tribunal administratif, saisi par les pensionnaires du parking.
Selon le Progrès, la justice explique "que les conditions de
stationnement ne créent pas une situation susceptible de porter une
atteinte immédiate à la salubrité ou la sécurité publiques".
La trentaine de caravanes visibles depuis le périphérique seront
toutefois parties début juin. Les gens du voyage l'ont promis, ils iront
alors aux Saintes-Maries-de-la-Mer pour leur pèlerinage.