Alertés, les policiers retrouveront deux petits garçons nés viables en
2011 et 2012 mais qu'elle avait noyé dans le bac à douche. Un geste
passé inaperçu à l'époque, Audrey Chabot vivait alors seule.
L'accusée, qui est jugée à partir de ce vendredi devant la cour
d'Assises de l'Ain, est en état de récidive. Elle avait déjà été
condamnée à 15 ans de réclusion criminelle en 2005 pour un premier
infanticide. Avec l'aide de sa mère, la jeune femme avait caché le corps
de son enfant dans une maison abandonnée.
Huit ans plus tard, elle
avait bénéficié d'un aménagement de peine.
Ecrouée actuellement à la prison de Corbas, Audrey Chabot souhaite "dire
la vérité" selon son avocat. Elle encourt cette fois la prison à
perpétuité.
Non la vraie victime c'est son pauvre mari , quelle poisse de tombé sur une femme pareille
Signaler RépondreELLE EST PLUS A PLAINDRE QU'À BLÂMER!!!!!!! Déjà au premier procès on aurai du lui proposer la stérilisation.
Signaler RépondreSurement qu'elle ne désirait pas cet enfant et que de toute façon il aurait été malheureux...en quelque sorte elle a fait une bonne action... et c'est vrai elle aurait dû avorter, en plus c'est remboursé! On espère que cette fois elle aura compris et que la prochaine fois elle saura profiter de ses droits...en tous cas on ne voit pas pourquoi elle devrait retourner en prison!
Signaler RépondreLe législateur devrait réfléchir à la possibilité d'une Interruption Volontaire de Naissance qui prévoierait l'élimination du nouveau né juste après l'accouchement...qu'on ne laisse pas le temps de respirer au foetus récemment expulsé.
La "vraie victime" c'est la mère...ne savait-elle pas qu'avorter est un Droit des femmes? On ne lui a pas dit lors du premier procès?
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