Les reptiles et autres batraciens qui ont été trouvés sur un terrain jouxtant le futur Grand Stade ont ainsi pu être récupérés et déplacés alors qu'une rame de la ligne T3 traversera bientôt la parcelle pour transporter le public jusqu'au complexe. Selon le Progrès, la loi contraint d'ailleurs le maître d'ouvrage à laisser les associations sauver les espèces protégées répertoriées. Et parmi les trouvailles des chercheurs, des dizaines de lézards des murailles, une espèce vivant dans l'habitat humain mais bien souvent victime des chantiers.
Encore une victime du foot et de la propagande Collombienne. Peut-on sauver les footeux? Non le mal est profond,même la FRAPNA ne peut pas, c'est pourquoi on dépense des M€ pour les enfermer dans un stade, et les mettre à l'abri du reste de la population
Signaler Répondre+1! Effectivement ça n'a pas gêné les zadistes, ni les papys de carton rouge pourtant soit disant si attachés à la nature. Ces gens (zadistes, carton rouge) n'en ont rien à cirer de la nature et des animaux. La seule chose qui les interresse c'est leur nombril.
Signaler RépondreC'est bien pour les lézards ... mais les assoc de protection de la nature ne se sont pas beaucoup occupés des pauvres chevaux qui sont restés à ce même endroit ( à droite de Dia) pendant 1 an dans le froid, attachés sans aucun abris au milieu des sacs poubelles et ordures de toute sorte, sans le moindre abris quand il faisait un vent glacial ... Le terrain devait-il rester exploité en agriculture pour justifier une indemnité quelconque ? En tous cas, cela n'a gêné personne. Même pas les zadistes qui squattaient à côté.
Signaler RépondreEt les fourmis, personne pour les sauver ?
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