Ce sont les avocats de la famille qui avaient fait appel de cette
décision autorisant la destruction des prélèvements ADN de 158
personnes, entendues par les gendarmes après l’assassinat de la jeune
fille de 20 ans.
Les faits remontent à 2005. Marine Boisseranc avait été
tuée de douze coups de couteau à son domicile de Chazay-d’Azergues. Son
ex-petit ami a longtemps fait office de suspect. Mis en examen, le
jeune homme a finalement obtenu le statut de témoin assisté en juin
2014.
Félicitations à maitre Dumoulin un excellent pénaliste .
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