Une femme de 33 ans, marchant sur un trottoir, a été percutée par une
voiture qui roulait à contresens sur une voie de bus. Le conducteur, qui
roulait sans permis et à vive allure, avait perdu le contrôle du
véhicule. La victime, sévèrement touchée, se trouvait dans un état
grave. Son pronostic vital était engagé.
Les enquêteurs tentent d’en
savoir plus sur les circonstances de l’accident et recherchent toute
personne ayant des informations. Les témoins peuvent contacter le
04 72 45 12 30 ou le 04 78 78 40 40.
Vendredi 2 Octobre 2015 à 15h26
Un appel à témoin après un accident sur le cours Tolstoï à Villeurbanne
LyonMag.com
La police a lancé un appel à témoin dans le cadre de l’enquête portant sur un accident de la circulation, jeudi 24 septembre, à Villeurbanne.
Laisser un commentaire
Le compte Lyon Mag est gratuit et facultatif. Il vous permet notamment de réserver votre pseudonyme pour les commentaires, afin que personne ne puisse utiliser le pseudo que vous avez enregistré.
Vous pouvez créer un compte gratuitement en cliquant ici.
Vous pouvez créer un compte gratuitement en cliquant ici.
quelques jours avant,j'ai vu une voiture de la meme forme et de la meme couleur que celle qui était tractée sur la dépanneuse ce jeudi 24,quand j'ai ramener ma collègue a 10 h du soir,aller a toute vitesse sur cette meme voie de bus,mais le matin.Un fou qui est remonté a toute allure le cours tolstoi sur la voie de bus.Sans compter la voiture bleue derrière moi qui a fait un détour par la rue blanqui quand le conducteur a vu la police,en faisant crisser ses pneus.A mon avis c'est un style go fast de transporteur de drogues.
Signaler RépondreEncore un "jesaistout" qui ferait mieux de se taire et d'apprendre ce qu'est en droit la notion de circonstance. Ce qui en aucun cas a pour but de juger la famille mais de définir le plus clairement possible l'e déroulement des faits.
Signaler RépondreSans permis - à contresens - sur une voie de bus... ça suffit pas, il en faut encore plus ?...
Signaler RépondreLes enquêteurs veulent blinder leur dossier, ils ont peur que les juges mettent la famille de la victime sur leur mur...