En effet, les automobilistes lyonnais passeraient en moyenne 5 jours et 14 heures par an dans les bouchons. Elle se classe donc juste après une autre ville de la région, Grenoble. Les Isérois perdent eux 6 jours de leur année à cause du trafic.
L'étude révèle également que les conditions de circulations se sont dégradées dans le Rhône, contrairement à Paris. Les conducteurs mettent désormais 1h17 pour réaliser un trajet d'une heure en temps normal.
Les axes les plus embouteillés de Lyon sont de toute évidence le tunnel de Fourvière, le nœud des Îles ainsi que le périphérique Laurent Bonnevay au niveau de Croix-Luizet.
Comment se forme un bouchon ?
Parmi les grandes questions existentielles, on peut se demander comment un embouteillage se forme. Sauf en cas d'accident ou de travaux réduisant la circulation, un trafic dense est souvent le résultat de ralentissements successifs des véhicules se situant en tête.
Le premier conducteur freine un peu, car, par exemple, une voiture change de file devant lui. Ce coup de frein obligera les automobilistes poursuivants à également appuyer sur la pédale du milieu et ainsi de suite jusqu'à un arrêt quasi-total.
Forcement vu tous les travaux a la c** qu’ils font je vois pas comment ça ne peux pas être le cas . Il faudrait les enfermer ceux qui decident parce que vraiment ...
Signaler Répondre@Nostromo On s’en fou de tes avis !
Signaler RépondreCourir après une "croissance permanente", pour rembourser les dettes, c'est ça le problème.
Signaler RépondreLa concentration d'activités et d'humains sur un même lieu est mauvaise sur plein de domaines : pollution dans les embouteillages, perte de temps, sécurité alimentaire très fragile, les habitants se ruinent dans les loyers ou les remboursements de crédits, etc.
Prédiction du jour (facile) : Lyon va gagner des places
Signaler RépondreDémonstration (très facile) :
- Écroulement de la production de logements depuis 2 ans à cause de l'incompétence politique et technique de la métropole (PLUH et blocage des permis).
- Aggravation de la pénurie de logements déjà ancienne et systémique à Lyon
- Explosion des prix, que ce soit pour acheter ou pour louer
- Exclusion de nombreux ménages qui s’éloignent de la métropole alors qu'ils y travaillent
- Recours massif à la voiture, donc bouchons sans fin
Pourtant contrairement à Grenoble, la géographie lyonnaise permettait d'éviter cette situation
Mais quand un vice président à l'habitat n'a toujours pas compris en 2019 une bulle qui gonfle depuis 10 ans, que dire de plus ?