Pour rappel, les faits s’étaient déroulés dans la nuit de samedi à dimanche, peu avant 2h30. La police était intervenue rue Louis Fort, à Villeurbanne, après avoir été appelée par une femme qui affirmait avoir été traînée de force et violée, par un homme âgé de 21 ans, dans une maison en chantier.
Le suspect, demeurant dans un centre d'accueil pour réfugiés de l'agglomération de Lyon, avait été interpellé. En garde à vue, il avait reconnu le rapport sexuel mais en maintenant qu’il avait été consenti.
Juste lamentable cette justice ! Ces individus souillent la France et par conséquent n'ont pas à y rester. Surtout quand on se dit réfugié et que la collectivité nous prend en charge à 100%
Signaler RépondreToujours bon a savoir qu'il y a un violeur de plus dans la nature.
Signaler RépondreEspère que le rapport était vraiment consenti, car sinon, la justice par sa décision, a implicitement donné l.autorisation..a cet homme de recommencer. Autre question, cet homme est il.retourné. vivre dans son centre d accueil et qu est ce qui a été mis en.place pour être sûr qu il.ne disparaisse pas dans la nature au cas ou il.serait coupable
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