C'est ce que déplore l'association La Ville à Vélo dont le but est de défendre les droits des cyclistes à Lyon. Ces arrachements sont en réalité le fait de la Ville de Lyon qui pour certaines occasions, comme la venue du président de la République le 9 octobre ou le réveillon de la Saint-Sylvestre, s'octroie le droit de libérer l'espace public.
Une dizaine de tweets montre des cadenas arrachés et des camions de mise en fourrière embarquer des vélos, sans que les propriétaires en soient notifiés, faisant planer des soupçons de vols de ces mêmes deux-roues.
Dans un communiqué, La Ville à Vélo réclame "une procédure formalisée" pour justifier ces enlèvements. Ainsi elle réclame "la communication de critères précis qui caractérise un vélo épave, un préavis de 7 jours apposé sur le vélo et un camion correctement équipé pour éviter la dégradation des cycles".
La loi d'orientation des mobilités impose à compter du 1er janvier 2021 un marquage antivol des vélos, ce qui permettra aux forces de l'ordre de contacter les victimes de vol en cas de découverte, et à tout un chacun de vérifier qu'un vélo n'est pas volé avant de l'acheter.
Signaler RépondreUne solution très simple:
Signaler RépondreMettre un genre de plaque minéralogique sur chaque vélo et un système qui notifie le proprio en cas de gêne, d enlèvement,....
Ça permettra aussi la vidéo verbalisation, comme pour les auto, les motos et les scooters