Tout a commencé avec une vidéo que Mila a publiée sur son compte Instagram. Dans cette chronique, la lycéenne ne mâche pas ses mots pour critiquer la religion musulmane. "L'islam est une religion de haine, c'est de la merde, votre dieu je lui mets un doigt dans le cul", a-t-elle ainsi déclaré.
Ces mots, certes très violents, méritaient-ils les vagues de haine contre la jeune femme militante pour les droits LGBT ? "Sale pute", "on règle ça lundi", "salope, je vais te tuer", "violez la" … tant de messages que l'adolescente encaisse encore aujourd'hui, une semaine après les faits.
Mila ne peut désormais plus se rendre à son lycée, par crainte de représailles. Plusieurs personnalités ont apporté leur soutien à la jeune femme, comme Raphael Glucksmann (PS), Julien Odoul (RN) ou encore Nicolas Dupont-Aignan (DLF).
Et les écologistes, toujours aussi tremblants!
Signaler RépondreLe parquet a ouvert une enquête contre la jeune fille et ses propos "" islamophobe ""?
Signaler RépondreAprès un échange houleux avec un homme sur son compte Instagram, Mila donne crûment son opinion sur l'islam et en a parfaitement le droit.
Signaler RépondreLa liberté d'expression n'étant pas connue de certains individus, il faut maintenant la protéger.
La plateforme Net écoute, partenaire de l’éducation nationale contre le cyberharcèlement, a été désignée pour une “prise en charge physique et psychologique” de la jeune fille, indique le rectorat. “Tous les opérateurs des réseaux sociaux” étaient mobilisés dès mercredi soir pour tenter d’arrêter la diffusion des vidéos de la jeune fille, et la plateforme d’harmonisation, d’analyse, de recoupement et d’orientation des signalements (Pharos) a été saisie. “Il faut qu’il y ait un message d’apaisement général”, glisse-t-on au rectorat.
J'en ait dit plus à 11H35. Vous pouvez regarder lefigaro.fr pour en lire plus.
Signaler RépondreCordialement
Je prévois bientôt un " les commentaires sont clos " sur cet article.....
Signaler RépondreLe Parquet ouvre une enquête! Ah, quand même!
Signaler RépondreCertains devraient se calmer, parce que d'un côté une jeune femme use d'un droit (au blasphème), de l'autre on la menace de mort!
Pouvez-vous essayer de le publier de nouveau ?
Signaler RépondreJ'aimerais en savoir plus.
Et la Gauche qui se tait, qui se couche! Quand il y a un siècle elle dénonçait l'opium du peuple!
Signaler RépondreQuelle régression!
Ca a commencé par un "jeune" qui l'a draguée lourdement sur internet et s'est pris un râteau.
Signaler RépondreCette jeune femme serait ouvertement lesbienne, au passage.
Du coup le "jeune" a crié au racisme et à l'anti-islam.
D'où la riposte de la jeune femme et ses propos cinglants.
Vous choisissez même vos commentateurs???
Signaler RépondreSérieux et son blasphème envers une religion n est pas haineux
Signaler RépondreVous avez censuré mon commentaire, qui expliquait pourquoi cette jeune femme avait publié ce message.
Signaler RépondreCa donne un tout autre éclairage à cette affaire pourtant.
C'est bien parce que les réactions qu'elle subit confirment ses propos.
Signaler RépondreLes politiques vont-il faire l'autruche ou enfin traiter le problème ?
Rappelons que le blasphème est autorisé en France!
Signaler RépondreSe moquer d'une superstition est plutôt un signe de bonne santé mentale. Se soumette à celle-ci est en revanche un symptôme plus inquiétant.
Quelle classe dans les propos de cette lycéenne... c’est dommage car sur le fond, j’approuve ses propos mais quelle vulgarité...
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