Dans le service dédié aux maladies infectieuses, l’INSERM, le professeur Florence Ader et ses équipes pilotent "Discovery", un programme de recherche thérapeutique qui va tester quatre molécules contre le coronavirus.
Plus de 800 patients seront pris en charge en France, 3200 en Europe. Ils sont choisis sur différents critères, notamment la sévérité de leur pneumonie. Pour le Pr Florence Ader, qui a choisi les patients qui seront testés à Lyon, "c’est un exploit des équipes d’avoir réalisé un protocole en si peu de temps. La France montre sa réactivité contre l’épidémie".
Dans une conférence téléphonique ce lundi après-midi, elle a expliqué que chaque patient va être randomisé au hasard pour que quatre traitements contre la maladie soient testés. Il s’agira alors de "comparer l’efficacité sur des échelles différentes ainsi que la tolérance" qu’apporte les traitements. Florence Ader assure aussi d’être "en capacité de faire de la recherche pro-active, en suivant l’évolution de l’épidémie grâce à énormément de moyens qui nous sont donnés". Et si une molécule venait à rapidement se montrer inefficace, il sera possible de l’arrêter immédiatement.
Parmi les différents médicaments, certains attendent le résultat de l’Hydroxy-Chloroquine, présenté par certains comme le remède miracle. Le Pr Bruno Lina affirme que le produit "sera testée comme toutes les autres".
Les premières personnes contaminées par le Covid-19 ont reçu les différents molécules de l’étude depuis ce dimanche. Une première évaluation clinique est attendue d’ici quinze jours.
Remettons les pendules à l'heure
Signaler Répondreen 2 semaines ils ne vont pas savoir si la chloroquine a des effets secondaires à long terme. J'ai encore jamais vu de tests de médicaments qui durent 2 semaines.
On sait déjà qu'elle n'a pas d'effet secondaires à court terme puisqu'elle est utilisée depuis des dizaines d'années.
Alors pourquoi l'interdire ? Quand il aura été prouvé qu'elle est efficace , ils auront des morts sur la conscience !
le meilleur test serait de donner directement l'antidote a base de chloroquine a tous les patients puisqu'il a déjà été testé sur des millions de personnes pour le palu !
Signaler RépondrePourquoi essaient-ils de nous faire croire que ce médicament est dangereux alors qu'il a déjà été approuvé pour le palu ?
Que se passe-t-il en France ?
on commence les tests le 22 mars pour une maladie qu'on sait mortelle et contagieuse depuis décembre, et qui est présente sur le territoire depuis début mars ?????
Signaler Répondreva-t-on enfin se remuer et arrêter de chercher les profits pour certains trusts? la santé et de loin plus importante
Signaler RépondreLa maladie a commencé en decembre en chine ils ont isolés le virus en janvier et en france on commence les essai fin mars !!! Y a vraiment des clowns la haut !!!
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