Cet habitant de La-Chapelle-de-Guinchay était parti dans les vignes du Nord-Beaujolais avec son père chasseur. Ce dernier affirme avoir chuté avec son arme, un coup de feu serait parti accidentellement, touchant son fils au cou. Le jeune homme est décédé sur place. Le tireur présumé a été interpellé, une enquête pour homicide involontaire est ouverte par le parquet de Villefranche-sur-Saône.
Dans un communiqué publié quelques heures après les faits, et alors que les réactions sur l'affaire sont déjà nombreuses sur les réseaux sociaux, la Fédération Départementale des Chasseurs du Rhône et de la Métropole de Lyon s’est exprimée. Leurs premiers mots vont en direction "de la victime de ce drame et à ses proches". Puis la fédération rappelle qu’en cette période printanière "la chasse est fermée et que seule la destruction des espèces susceptibles d’occasionner des dégâts peut être autorisée dans le respect d’un cadre règlementaire strict". Les chasseurs assurent qu’ils vont "suivre de très près l’enquête en cours qui permettra de déterminer précisément les circonstances qui ont conduit à cet évènement dramatique".
Vraiment dommage et très évitable comme accident dès lors qu'on manipule des armes à feu.
Signaler RépondreIl y a par principe des précautions d'emploi , de sécurités élémentaires et des règles d'utilisation qui ont forcément pas été respectés.
On ne peut pas manipuler ou porter un fusil de chasse comme chaque matériel de la vie courante.