Malgré le sacre des Verts à la Ville et à la Métropole de Lyon, une autre donnée alimente le scrutin, celui du taux abstention : "Ça contraste avec l’impression que le peuple depuis 2017 est très présent sous différentes formes de mobilisations politiques. (…) Mais il semble avoir un rétrécissement entre cette politisation du peuple et sa non-traduction dans les urnes qui est pourtant le symbole de la démocratie."
Néanmoins, l’arrivée de Grégory Doucet à l’Hôtel de Ville marque la fin de l’ère initiée par Michel Noir en 1989 et portée jusque là par Gérard Collomb. Une transition dont les bords ne sont pas encore totalement définis et où le futur maire marche à vue : "On ne sait pas qui vont être les maires d’arrondissement, on sait très peu de choses sur les adjoints. Les trois adjoints annoncés par Grégory Doucet (Nathalie Perrin-Gilbert, Sylvain Godinot et Audrey Hénocque, NDLR) sont profondément surprenants. (…) Le fait qu’il ait choisi Audrey Hénocque et Nathalie Perrin-Gilbert comme deux premiers adjoints connus, il se rend compte du risque qu’il prend en débarquant comme ça avec des gens totalement extérieurs au monde politique dont il fait lui-même partie. Il essaye donc de prendre des gens qui connaissent un peu le système."
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merci vous m'avez pris de court !
Signaler RépondreMoi j'aime bien ce petit clin d'oeil suite à l'élection d'Europe écologie - Les Verts à Lyon et à la métropole :)
Signaler RépondreCa doit effectivement être une "véritable catastrophe" pour ceux habitués aux petits arrangements entre nantis de la baronnie.
En attendant, la démocratie s'est exprimée et à choisit sa majorité, quoiqu'il vous en déplaise ;)
Bonne remarque ! Mais maintenant ce sont les verts qui ont l'argent....alors il est bon que la 'presse ' se range du coté de la soupe... alimentaire mon cher Watson
Signaler RépondreLyon Mag, votre couleur verte pour célébrer l'arrivée des verts est franchement malvenue, on attendrait plus d'impartialité de votre part.
Signaler RépondreSi certains se réjouissent de l'arrivée des verts, pour d'autres c'est une véritable catastrophe, rien à célébrer.
Les gens qui connaissent le système, il y en a des dizaines parmi les fonctionnaires et salariés des différentes mairies. Ce n'est pas le sujet.
Signaler RépondreAu contraire, bon nombre de décisions vont pouvoir être dépolitisés, et arbitrées uniquement sur des considérations techniques.
Le "je te construit une école parce que tu votes pour moi", c'est fini !
Quand on a rien à dire, il est préférable de se taire.
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