Alors que Laurent Wauquiez remettra son siège de président en jeu au printemps 2021, les différents partis s’affairent, à l’image des écologistes qui ont désigné un binôme de candidats. Et la formation macroniste n’est pas en reste. Faut-il rappeler la rumeur envoyant le grenoblois Olivier Véran, actuel ministre de la Santé, batailler contre Laurent Wauquiez, à une époque où l’on imaginait l’épidémie de coronavirus nous laisser tranquille après l’été ?
Selon le Canard Enchaîné ce mercredi, la République en Marche a également sondé Olivier Dussopt, ministre très occupé des Comptes publics. Mais à l'instar d'Olivier Véran, l'Ardéchois craindrait un cuisant revers électoral.
Les éminences grises d'Emmanuel Macron se seraient donc tournées vers une personnalité potentiellement animée d'un sentiment de revanche, quelqu'un qui avait déjà tenté sa chance avant de jeter, à contrecœur, l’éponge aux régionales 2015 : Michel Barnier. Il y a six ans, l’ancien ministre savoyard avait réclamé l’investiture de l’UMP, finalement décernée à Laurent Wauquiez.
Après avoir dénoncé une "faute politique" de Nicolas Sarkozy, il s’était ensuite éloigné de son territoire pour s’occuper, principalement, des négociations entre l’Union européenne et le Royaume-Uni concernant le Brexit. Il est aujourd'hui titulaire du titre (à rallonge) de chef de la force opérationnelle chargée de la finalisation des négociations, des travaux préparatoires liés à la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne, ainsi que de la préparation et de la conduite des négociations sur les relations futures avec le Royaume-Uni.
Nos confrères révèlent que le parti présidentiel a fait de Michel Barnier leur favori pour contrecarrer les plans du président sortant d’Auvergne-Rhône-Alpes. Problème de taille toutefois : l’ancien eurodéputé ne sera disponible qu’une fois un accord final trouvé pour le Brexit. Or, ce dernier traîne en longueur. De quoi promettre une très courte campagne à Michel Barnier, dans un territoire immense… Voire pas de campagne et d'investiture du tout si le Brexit n'aboutissait pas dans les temps.
C'est donc une nouvelle rumeur qui vient s'ajouter en Auvergne-Rhône-Alpes après les promesses d'une candidature de David Kimelfeld, ancien président de la Métropole de Lyon et même de Najat Vallaud-Belkacem qui se verrait bien rendre la Région à la gauche.
si c'est vrai c'est super! homme politique de grande valeur pas un politicard de seconde zone
Signaler RépondreQuand va-t-on virer ces gamellards chercheurs de "steaks " , pour se gaver en retraite ???? Barnier , filou , fourbe , et girouette de premier ordre , caméléon qui a encore changé de couleur ????
Signaler RépondreVirez moi ces vermines à jamais !!!!!!!
LREM ou le bal des faux culs!
Signaler RépondreIls cherchent à récupérer un frustré par son partis ....mais si ce « mouvement » était si extraordinaire, et .... legitime, la question d aller draguer des girouettes ne se poserait pas!
Ce « partis » moribond doit disparaître, et le plus tôt sera le mieux!
Au fait, Macron a déjà commencé sa campagne à nos frais avec des colleurs d affiche... personne ne réagit?
Vallaud Belkacem c'est le passé !!!
Signaler Répondreelle a été battue à Villeurbanne, elle est partie à Paris donc c'est terminé.
Mais le PS est vraiment au fond du trou pour ne pas avoir de candidat naturel.
Le PS n'a qu'à se ranger derrière les Melenchonistes, ils auront un moyen de sauver des sièges !
Un des meilleurs politique de sa génération, très attaché à son territoire, travailleur et pragmatique. Pas le genre à chercher le buzz... S'il se présente... Il aura mon vote !
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