En cause, l’installation de nombreuses personnes sans domicile fixe sur les plus grandes artères, notamment du côté de la place de la République et de la rue de la République. De plus en plus de tentes sont installées à même le sol, formant de véritables campements sauvages. Ce vendredi, Le Progrès a décidé de faire la Une de son édition du jour avec son sujet.
Nos confrères font le même constat que notre article publié mi-décembre : les nuisances sont permanentes pour les riverains et les commerçants qui habitent ou travaillent près des lieux de vie des SDF, en particulier à cause des chiens qui hurlent à toute heure du jour et de la nuit. Un véritable tapage en règle.
Mais trop peu nombreux, et surement démotivés, les services de police n’interviennent que trop rarement pour stopper ces problèmes qui ne sont pas réellement pris à bras-le-corps par les responsables politiques. Ce jeudi soir encore, une rixe a opposé deux individus du campement de la rue de la République, avenue qui n’aura jamais aussi mal porté son nom. Selon des riverains témoins de la scène, l’un des protagonistes de la rixe a dégainé un couteau pour intimider son adversaire. Les voisins du campement sauvage ont alors appelé les policiers par crainte d’un drame sous leurs fenêtres. Mais encore une fois, aucun fonctionnaire n’est venu sur place pour calmer les tensions.
Interrogée par nos soins, l’adjointe au maire de Lyon chargée des Solidarités et de l’inclusion sociale Sandrine Runel déplorait mi-décembre "une situation connue avec une hausse du phénomène à cause de la fermeture de certains commerces". Quand le magasin Printemps avait rouvert, l’élue s’était félicitée d’avoir réussi à faire déplacer les tentes de la place de la République jusqu’au milieu de la place, afin de dégager la vue sur les vitrines. Sandrine Runel affirmait alors œuvrer "pour l’ouverture d’un vaste lieu comme un parking" pour accueillir les SDF dans un abri un peu plus digne qu’à même la rue. Une mise en place pour début 2021 était envisagée par l’adjointe de Grégory Doucet.
Mais ce vendredi, l’élue reconnait son échec après avoir proposé aux jeunes devant le Pathé Bellecour de loger dans un gymnase avec l’eau courante : "ils ont refusé, par peur de perdre leurs chiens" affirme-t-elle chez nos confrères. Déterminée mais impuissante, Sandrine Runel "espère trouver des solutions d’urgence". Reste à savoir quelle est sa définition de l’urgence.
Les voisins ont demander de l’aide... à la police
Signaler RépondreIl n y a pas de victime qui se retourne contre son bon samaritain dans ce cas là... l aide venant des FDO
Ils refusent un gymnase?
Signaler RépondreIls veulent pas non plus une maison avec vue sur la mer à St Tropez pendant qu'ils y sont?
Sinon c'est pas possible de les dégager a coup de pied dans le cul?
Ou est le respect de la loi et son application?
Comme partout dans le monde la révolte des peuples sans pensee
Signaler RépondreIls ont raison de ne pas accepter ces solutions débiles !
Signaler RépondreCe n'est qu'un début.Nous n'avons pas fini de payer des années de laxisme et de démagogie à tous les niveaux politiques, et ce n'est pas une municipalité de hasard qui remédiera à ce désastre. Bientôt, Lyon sera une ville à fuir.
Signaler RépondreSi les FDO ne se déplacent pas pour une bagarre, c'est que les belligérants les attendent certainement pour les recevoir "aimablement". Il faut savoir faire des choix. Etre anti flic ou pas !
Signaler RépondreIls ont raison ,c'est vivifiant les nuits à la belle étoile en hiver !
Signaler RépondreLa probabilité que la "victime" se retourne contre la personne lui venant en aide est non négligeable, et l'aidant se retrouverait tout autant en garde à vue que l'agresseur et la victime. Nous ne sommes pas supposés faire usage de la force, cela revient à la police....
Signaler Répondre"Les cinéma doivent restés fermés au moins jusqu'à la fin du mois" ! C'est valable pour TOUTES les alles obscures !
Signaler RépondreLes Khmers Verts veulent punir les habitants du 2ème, qui n'ont pas voté pour eux. Ils vont devoir procéder à une auto-critique en public et faire un en camp de ré-éducation avant de pouvoir envisager de bénéficier d'un petit intérêt de la Mairie.
Signaler RépondreIls refusent un toit, qu'ils dorment à la belle étoile avec le gel !
Signaler RépondreY a rien à faire faut rouvrir le Pathé
Signaler RépondreIl faut déplacer les campements sur les pistes cyclables !
Signaler RépondreAu moins elles auront une utilité.
Si on met une piste cyclable sur le tracé des tentes, le tout agrémenté de bacs à compost, le problème sera vite réglé.
Signaler RépondreQu’on les laisse occuper le gymnase avec leurs chiens. C’est si impensable que ça ? Et que la SPA intervienne si besoin.
Signaler RépondreBen oui, mais ils squattent déjà une avenue piétonne. On fait comment maintenant ?
Signaler RépondrePourquoi Grégouille, Nanard et NPG ne les prennent pas chez eux ? Ils les apprécient tellement
Signaler RépondreLe chef des pastèques a la solution : Piétonniser toute la presqu'ile, comme ca ils pourront s'étaler au delà de la rue de la ré...
Signaler Répondreet les virer par la force, non?
Signaler Répondreamer constat que nos institutions ne fonctionnent pas!
Signaler Répondrela preuve, les voisins appellent pour signaler une bagarre avec couteau, et personne ne se déplace
c est la meme chose pour les tapages dénoncés par "Presqu'ile en colère"
mais je ne crois pas qu en France, et a Lyon en particulier, le délits de mendicité et de squat de rue n existent pas (et c est tant mieux)
je rappel tout de meme qu il y a un an, un homme se faisait tabasser et laisser pour mort en pleine journée devant le cinéma ... et la foule! un d eux a tout de meme sauté a pied joint sur la tête de la victime, qui était au sol
... au meme endroit, toujours des problèmes
il en dit quoi le maire du 2 ??????
Quelle efficacité, bravo !
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