Le préfet du Rhône Pascal Mailhos, le maire de Lyon Grégory Doucet et les maires des 3e et 7e arrondissement Véronique Dubois-Bertrand et Fanny Dubot étaient notamment présents pour visiter le commissariat du 3/6, l’une des pierres angulaires de la police lyonnaise.
Véritable fourmilière, ce commissariat enregistre environ 60 plaintes par jour. Les services hébergés dans les locaux sont nombreux, à commencer par celui de la Brigade de sûreté urbaine. Une présentation des missions a notamment été réalisée par la commissaire Vanessa Mazière, chef du commissariat. La BSU est chargée de résoudre des enquêtes, "et le travail ne manque pas", souffle l’un des membres de la brigade qui précise que "six personnes sont actuellement en garde à vue, rien que pour nos affaires. Ça n’arrive jamais qu’il n’y ait aucune garde à vue en cours".
La visite, en compagnie aussi de Mohamed Chihi l’adjoint à la Sécurité à la mairie, s’est poursuivie dans les étages du bâtiment, à la Brigade des Stupéfiants et au Centre de Supervision Urbain, pièce où des écrans montrent en temps réel les images de la vidéosurveillance. Mais cette séquence n’a pas été ouverte à la presse, besoin de confidentialité sur des affaires en cours oblige.
Les gradés et élus se sont ensuite rendus dans le poste de police municipale de la rue Claude Boyer, toujours dans le 7e arrondissement de Lyon. Des locaux flambant neufs ont été inaugurés en décembre dernier, pour le plus grand bonheur des fonctionnaires. Au total, 15 agents travaillent ici. Parmi eux, l’homme qui a sauvé la vie du prêtre qui s’était fait tirer dessus en octobre dernier rue Saint-Lazare. Primo-intervenant, il avait compressé les plaies de l’homme soupçonné d'avoir couché avec la femme du tireur. Félicité par le préfet et le maire de Lyon à l’occasion de cette visite, le brigadier-chef a fait part de sa "fierté de porter l’uniforme" et "du travail réalisé au quotidien dans l’ombre".
Tous les jours, ces policiers sont en effet confrontés à de nombreuses problématiques dans l’arrondissement, et en particulier sur la place Gabriel-Péri à la Guillotière. "Ce secteur occupe une grosse partie de nos missions", explique Clara, jeune policière du poste.
Dans cette zone qui cristallise de nombreuses tensions, Grégory Doucet juge qu’il a hérité d’une situation : "l’impatience des riverains traduit l’ancienneté des problématiques qui n’ont pas été prises à bras le corps dans le passé". "Il faut prendre le temps, les enquêtes ne se font pas du jour au lendemain", enchaîne l'élu écologiste qui accorde sa pleine confiance "à ceux qui font la tranquillité publique du quotidien".
Un travail de longue haleine dont fait état, aussi, la préfecture du Rhône : "J’ai réuni le 24 juillet les maires de 6 villes, aujourd’hui je propose une méthode. Nous nous voyons tous les deux mois pour regarder secteur par secteur, thème par thème, comment nous pouvons agir collectivement. La méthode apporte des résultats, la délinquance a baissé en 2020", explique Pascal Mailhos. Le représentant de l’Etat rappelle également, qu’il y a "une action par jour sur la place Gabriel-Péri", pour casser les trafics. Pourtant, chaque jour, le trafic et le marché sauvage reviennent inlassablement.
Ce mercredi était enfin l’occasion pour Pascal Mailhos d’annoncer une nouvelle convention entre la police nationale et la police municipale. Pour lui, "on ne peut pas dire "on travaille ensemble" sans en tirer les conséquences. Le texte précisera donc les modalités d’engagement de chacun". Un "gage d’efficacité" pour le préfet de Région.
L'association pastèques islamogauchistes et macronie pour faire de la communication...
Signaler RépondreUne communication destinée, aux ouinouin qui continuent de croire dans ces laxistes !
Et envoyer des drones pour taser les gens pendent qu'on y est.
Signaler RépondreN'importe quoi !
La délinquance n'a pas baissé .... si l'on tient compte, des confinements et couvre feu ..... La délinquance est même plus violente ... Doucet et Maihos en vadrouille dans la cour des miracles, n'ont pas eu le cran d'aller au devant des riverains, au devant du citoyen de passage, ni au devant de cette smala insalubre des migrants amoncelés devant les entrèes du métro, ou la gare du tramway. Il y a ce que l'on dit à la presse, et ce qui se dit entre soi , genre " mrs de la police vous faites bien votre boulot, mais n'en faites pas trop, ne faites pas de vague, "
Signaler RépondreNotre khmaire va découvrir la vraie vie, les vrais gens, les vrais problèmes.
Signaler RépondreDes promesses,toujours et encore ..Nos politiciens se font de la pub tout simplement
Signaler Répondre..un nouveau titre de BD.."la rencontre des Dalton"..avec Averell-Doucet".. les nuls sévissent..
Signaler Répondre+ 10000
Signaler RépondreTrois petits tours et puis s’en va. Pas que ça à foutre. D’autres opérations de comm’ l’attendent entre une végétalisation et une piétonnisation. EELV croit en l’anthroposophie, aux méthodes holistes mais aussi en la performativité de tout discours.
Signaler RépondreA moins qu’ils nous prennent pour des cxxx. Serait-ce possible ?
va t on installer des cameras a reconnaissance faciale .
Signaler Répondreil y a un moment ou il faudra admettre que c est la seule solution .
compte tenu du peu de personnel sur le terrain ...
Il est aller voir les policiers et visité le commissariat, mais pas les riverains et sur le terrain.
Signaler RépondreCourageux mais pas téméraire la pastèque...
"la délinquance a baissé en 2020"
Signaler RépondreEn même temps en 2020... il trainait pas grand monde dans les rues pendant certaines périodes.