La semaine dernière, Le Nouvel Observateur a fait le lien entre l’enquête sur ces disparitions et la destruction de douze corps en 1998. Le parquet de Grenoble a confirmé qu’une centaine de prélèvements biologiques avait été envoyés au procureur par le service de médecine légale du CHU de Grenoble pour demander l’autorisation de les détruire. Selon le parquet, un seul concernait des fragments d’ossements retrouvés en 1985 dans une caverne du Vercors. Il assure que les autres scellés détruits "n’étaient absolument pas des corps", mais seulement "des prélèvements biologiques" comme de l’urine ou des cellules musculaires.
Je n'ai plus souvenir de cette affaire ...
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