"Il faut chanter et faire un discours. Puis, on gagne une casquette avec inscrit dessus le nombre de sélection que l'on a. Sur la mienne, il y avait marqué Michel Bastos numéro 1. Le discours, c'est chaud. Les gens n'arrêtent pas de te chambrer et ne te laissent pas parler. Devant des joueurs comme Kaká ou Robinho, ce n'est pas évident de garder son sérieux" a confié le brésilien. Gageons que cette bonne ambiance au sein du vestiaire brésilien trouvera son écho sur les terrains d’Afrique du Sud.