« C’est bien la notion de « pratiques à risques » qui doit être prise en compte comme facteur de risque du VIH et non pas, évidemment, le fait d’être homosexuel » a recadré la lyonnaise.. Elle a également tenu à rappeler « son engagement personnel de près de 20 ans, en tant que médecin puis femme politique, aux côtés des patients atteints par le VIH/SIDA et dans la prévention de la maladie en partenariat avec les associations », réclamant, acide, « que ceux qui laissent planer une accusation d’homophobie infondée, offensante et particulièrement grave à mon encontre se renseignent avant de porter l’anathème à des fins partisanes. »
Tout mon soutien vous est acquis, Toute la misère des homos ne repose pas sur vos épaules ! Votre propos est tout simplement vé-ri-di-que. Chaque mot est un outil sémantique, parler d'homosexualité est forcément un raccourci et ne désigne pas "toute" la population homosexuelle. Mais globalement, votre constat esrt exact. Seuls les imbéciles peuvent être choqués par la Vérité.
Signaler RépondreVictime du terrorisme intellectuel, elle rentre dans le rang. C'est cela la démocratie en France : On n'a pas le droit de dire les vérités qui dérangent.
Signaler Répondre