Selon le Progrès, le Grand Lyon, propriétaire du lieu, a saisi la justice en juillet 2011 pour demander l’évacuation de l’esplanade, et la cour d’appel a déclaré cette occupation illicite en janvier. D’après ses services, le préfet du Rhône Jean-François Carenco étudie donc actuellement "les conditions d’une expulsion humaine", alors que les squatteurs ont été déboutés de leurs demandes de droit d’asile et doivent quitter le territoire français. Certains jeunes de ce campement sont scolarisés dans des écoles et un collège du 2e arrondissement de Lyon.
Il est toujours facile de faire du "social chic".
Signaler Répondremais pour passer a l'acte il y a personne, que ceux qui veulent les loger a leurs frais chez eux le fasse.
Notre situation economique au bord du gouffre, ne permet plus d'integrer ces gens.
Je déplore cependent que cette reconduite a la frontière vas coutée chér a l'état Français, a une époque ou beaucoups de parents Lyonnais ne peuvent offrir de vacances a leurs enfants.
Le plus incroyable, ce sont les lyonnais et plus globalement les français qui ne se révoltent pas face à ces simulacres de gestion publique.
Signaler RépondreLa solution : les bobos gauchos hébergent et payent les soins médicaux, l'éducation de ces gens illégaux.
Signaler RépondreOn ne peut pas recevoir toute la misère humaine en France.
Signaler RépondreA moins que les Français soient prêt a donner l'ensemble de leurs revenus aux plus démunis.
dans ce cas là, moi aussi j’arrête de bosser et me retire en bord de mer.
Après l'"expulsion humaine", le régime collomb va-t-il proposer la répression républicaine et le racisme citoyen ?
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