L'Opéra de Lyon examiné par la Chambre régionale des Comptes

Dedans, la Chambre régionale des Comptes met en avant trois choses. Tout d'abord, cette dernière demande une mise à jour des statuts après avoir jugé que "les pouvoirs du président étaient vidés en faveur du directeur général". Deuxième recommandation : "faire preuve de davantage de rigueur dans ses obligations vis-à-vis de l'URSSAF, de l'administration fiscale et des règles de procédures propres au droit du travail". Selon le Progrès, en 2000, l'Opéra de Lyon avait payé 150 000 euros de redressements fiscaux, ainsi que 180 000 euros pour des licenciements menés devant les prud'hommes. Un dernier dossier met en avant l'absentéisme des salariés venant du privé et du public. En effet, des variations inégales ont été constatées avec par exemple en 2010, 8,27 jours d'absence pour les salariés de l'Opéra et 19,12 jours pour les agents mis à disposition par la ville.