La mâchoire et le nez brisés, plus de sinus et la pommette défoncée... C’est avec de grands coups de poings, que le pseudo-professionnel de la route, après avoir refusé de conduire le client, lui aurait fait comprendre qu’il ne devait pas non plus commander un Uber dans le quartier de la Confluence.
Ce mardi, le jeune Alexandre est toujours hospitalisé. Il risque une paralysie de la partie gauche de son visage. La victime a partagé son agression sur les réseaux sociaux, ainsi qu’une photo de son visage tuméfié "pour qu’une telle violence gratuite ne se reproduise pas". Les taxis se défendent d'avoir un lien avec l'agression, Pascal Wilder, président de la fédération des taxis indépendants du Rhône, a notamment indiqué que rien ne prouvait l'implication de sa profession dans ce fait divers.
Rappelons qu’Uber Pop était interdit la semaine dernière par la préfecture, pour "éviter les risques de trouble à l'ordre public suite à des incidents constatés entre chauffeurs de taxi et particuliers, adhérents de l'application UberPop"...
Du côté de la communauté des chauffeurs Uber, on démonte facilement les arguments, des taxis hostiles à Uber-Pop. L’un d’eux, nous a confié " je suis assuré, j’ai le permis depuis longtemps, il n’y a aucun souci. En plus, lorsqu’un client commande un Uber, qui vient le chercher, il a toutes les informations concernant le chauffeur, son véhicule, et son heure exacte d’arrivée. Enfin, il peut vérifier par où est passé le chauffeur grâce au récapitulatif de course".
Pour le jeune étudiant lyonnais, qui trouve dans cette activité un moyen d’arrondir ses fins de mois, "les taxis ont raté le virage technologique. Au début ils ne croyaient pas en une application comme celle-ci, ils voulaient garder leurs privilèges et leur confort personnel".
Concernant le jeune frappé, pour le chauffeur lyonnais d’Uber-Pop "c’est le monde à l’envers, ce sont maintenant les clients qui sont au service des taxis".
Mardi 23 Juin 2015 à 11h40
Lyon : ciblés par les taxis, chauffeurs et clients Uber sont-ils en danger ?
Alexandre reste à l'hôpital - DR
De multiples fractures, voilà ce qu’un taxi lyonnais lui aurait fait dans la nuit de samedi à dimanche.
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agresser en parlant ?? on croit rêver à la lecture de votre commentaire
Signaler RépondreRegardez-le lui, qui parle avec la tête baissée !!
Signaler RépondreGrand courageux va !!
En fait, les flics devraient interpeller ce jeune qui a été salement cogné, parce qu'il a agressé un pauvre chauffeur de taxis ??
Continuez de baisser la tête et tendre le croupion, c'est la seule position qui vous convient.
Serieux vous avez tous de bons sentiments pour ces pauvres chauffeurs privés, mais j'aimerai vous y voir avec une licence à payer sur le dos ?
Signaler RépondreVous connaissez le principe de profession réglementée ? Ce n'est pas parce qu'il ont le monopole de cette profession que la concurrence n'existe pas.
Si demain je veux être médecin je ne peux pas le faire, idem pour toutes les autres professions réglementées.
Vous voulez libéraliser le marché du transport, ok, mais comment on fait pour les licences payées ?
Après je suis entièrement d'accord sur le fait que les taxis ont à se remettre en cause sur la qualité de service.
Je ne pense pas par contre qu'il faille nivelé le métier par le bas en créant des jobs précaires.
Il ne faut pas généraliser, mais force est de constater que le chauffeur de taxis, cumule les motifs de rejets des clients.
Signaler RépondreRoublard (fisc/clients), violent (paroles/actes), pas d'hygiène (corporelle/véhicule), avec ces dernières années des signes communautaires visible.
Ce métier s'est très clairement dégradé. Les raisons sont multiples et le reflet de notre pays.
L'accès a une profession facilité et réservée, à des gens sans culture et éducation.
Le nivellement par le bas, voila le drame de notre pays.
Les socialistes sont à l'origine de ce nivellement.
Ce n'est vraiment pas malin
Signaler RépondreLes gens vont boycotter les taxis et faire payer même ceux qui sont corrects
C'est malheureux de voir une profession mourir à cause de ce genre d'abrutis
Quel dommage de rentrer dans la provocation... Les torts sont partagés même si la violence ne résouds rien la provocation non plus ... J ai entendu votre témoignage... Que voulez vous faire en agressant un chauffeur en lui parlant d uberpop... Que pensiez vous avoir comme résultat? Une discussion ? Ou une réponse musclée... La prochaine fois n essayer pas de provoquer ... L expérience de la vie vous apprendra à être plus sage
Signaler RépondreTaxis voyoux. Boycottons les!
Signaler RépondreOh le pauvre Il exerce une profession Interdite pas la loi ... C est vrai que si vous acheter des fringues et que vous allez les vendre rue de la ré personne ne vous diras rien
Signaler RépondreCa ne m'étonne pas du tout, j'habite dans le quartier ou se trouve la maison des taxis du Rhône dans le 7ème, il faut voir leur comportement lamentable de violence, j'ai très souvent vu des pains dans la gueule voler pour des places de parking ou des simples embrouilles entre conducteurs je vous assure que cest pas du tout rare!
Signaler RépondreJuste pour info les applications de taxis sont plus anciennes que celle d uber... C est juste le manque de fond pour les faire connaître la réelle différence avec uber ! Il ne faut pas indiquer des moitiés d informations, vaut mieux ne rien indiquer que de toujours ecrire la moitié ou de fausse vérité!
Signaler RépondreScandaleux il faut le faire payer de ses actes devant la justice et lui supprimer sa licence
Signaler RépondreAu lieu de protéger la concurrence et l'intégrité physique des clients, la Préfecture interdit UBER. C'est-à-dire la société victime.
Signaler RépondreNotre Préfet est finalement aussi nul que le précédent.
Pauvre France !
Cette affaire va (trop) très loin !!
Signaler RépondrePlus jamais je ne prendrais de taxi. Je préfèrerai payer le parking 2 fois plus cher que le taxi: ils sont en train de "creuser leur propre tombe"!
Signaler RépondreIls sont vraiment malades ces taxis.
Signaler RépondreC'est décidé, je les boycotte.