D'après le parquet de Vienne, les habitant de l'habitation, un homme âgé de 60 ans et sa compagne, ont été réveillés vers minuit dans leur sommeil par "trois ou quatre" malfaiteurs qui ont ordonné au couple de rester coucher "face contre les oreillers".
C'est alors que le fils, âgé de 37 et habitant juste à côté de chez ses parents, a volontairement tiré un coup de feu dans le volet du couple pour faire fuir les agresseurs. Plus tard, deux autres coups ont été tirés, cette fois par le propriétaire car l'un des individus en fuite "faisait mine de revenir dans sa direction". Touchée à l'épaule, la victime s'est réfugiée dans un véhicule stationné près des lieux du cambriolage. Il est décédé malgré l’assistance des pompiers et du SAMU.
Selon le parquet de Vienne, "le fils du couple agressé a indiqué avoir tiré à trois reprises sur le véhicule en question, sans savoir qu’il était occupé", cela pour "neutraliser le véhicule et d’empêcher les voleurs de repartir". Ce samedi soir, la garde à vue du père et de son fils a été prolongée. D'autres auditions sont prévues ce dimanche.
D'ores et déjà, deux procédures ont été ouvertes par le parquet. La première pour homicide volontaire, la seconde pour tentative de vol par effraction avec violences en réunion. Les enquêtes ont été confiées à la section de recherches de la gendarmerie de Grenoble.
A noter qu'une autopsie du corps de la victime doit être pratiquée ce lundi.
Il ne faut pas confondre, les victimes sont les personnes qui sont cambriolées !!!
Signaler RépondreVu l'inefficacité de la justice nous sommes obligés de faire justice nous même !!
Bien sûr la justice les aurait relâché avec un rappel à l'ordre. Ils ont pris leur risque et je soutiens les victimes de cambriolages, comme une majorité de français qui se désespère de cette "justice".
Signaler RépondreQue faut il faire quand on est cambriolé avec violence et prise d'otage ???
Signaler Répondre- si on se défend = tentative de meurtre !
- si on ne fait rien = mort assurée ou séquelles à vie !
Les malfaiteurs ont toujours raison !
Les victimes ont toujours tord !