Dans l'édition de Lyon sont notamment mis à l'honneur plusieurs candidats de la 1ère circonscription du Rhône, avec une demi-page réservée au favori, Thomas Rudigoz (LREM).
Et beaucoup ont noté l'absence d'articles sur Anne Lorne (LR) et Elliott Aubin (FI), ses principaux adversaires. L'élue régionale s'en émeut dans une lettre ouverte au directeur du Progrès, accusant son journal de n'être "dans cette élection ni neutre, ni impartial, ni juste dans le traitement de l'information".
"Conformément à la loi, votre journal ne peut plus parler des élections dans son édition de samedi. Ainsi, nous sommes doublement pénalisés, puisque avant le scrutin de dimanche, je ne pourrai pas être citée dans votre journal!", s'emporte Anne Lorne, qui rapporte que "de nombreuses personnes" lui ont fait remarqué avoir cru qu'il n'y avait pas de candidat LR dans la circonscription, en se basant sur l'article du Progrès de ce vendredi.
Cette dame à bien du courage !
Signaler RépondreMais ? Depuis quand le traitement des différents candidats qui respectent les lois, est équitable ?
Signaler RépondreJAMAIS à ma connaissance.
Pourquoi ?
Les "budgets publicité" de la ville ou d'autres organisations ont-ils une incidence ?
Éparpiller les voix est-il dans l'intérêt des "gros" ?
C'est toujours le même cirque.
Nous sommes dans une démocratie tronquée. Inutile de faire de la paranoïa.
C'est amusant que cette dame se plaigne... elle va peut être ainsi comprendre ce que subissent d'autres candidats.
Pourquoi n'attaque t-elle pas le bigaro, la croix ou valeurs "actuelles" pour n'être ni neutre ni impartial.....
Signaler RépondreBoarf, elle aurait pu remplacer "le Progrès" par "LyonMag", elle aurait eu aussi raison!
Signaler RépondreElle qui fait tellement confiance aux électeurs et qui dénigre la presse si souvent elle devrait être comblée pourtant ! Le véritable verdict dans les urnes dimanche madame Lorne on verra si vos idées sont si plébiscitées que ça
Signaler RépondreUne honte ! Du journalisme de caniveau. Il manque également Elliott Aubin. Mes idées ne sont pas forcément celles de Madame Lorne mais on sent bien que Le progrès est de plus en plus soumis à Gege Colomb. Je la soutiens dans sa démarche !
Signaler RépondreOn se demande si les journalistes ne travaillent pas dorénavant pour LeGorafi dans ce journal...
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