L'enquête avait débuté à la fin de l'année 2017, après le dépôt de quatre plaintes. Depuis, une quinzaine d'enfants, âgés de 6 à 11 ans, ont été entendus, évoquant, selon France 3, des claques, des fessées ou des secouements, subis durant une période prolongée.
Les deux femmes ont été placées sous contrôle judiciaire à l'issue de leur garde à vue. Elles seront jugées devant le tribunal correctionnel de Villefranche le 23 avril prochain.
D'ici là, il leur est interdit d'exercer une activité professionnelle en lien avec des mineurs, ni d'entrer en contact avec les victimes présumées. L'école a été fermée. Le rectorat s'est saisi du dossier.
Une solution: interdire toute les écoles privées, notamment catholique, afin d'y rétablir l'ordre républicain et ce genre de dérives dangereuses pour les enfants.
Signaler RépondreEh bien pour des enseignantes d'une école Montessori, c'est absolument énorme, schizophrénique même !
Signaler RépondreOù l'on voit une fois de plus que l'étiquette, dont certains peu équipés sont friands, ne fait pas le contenu.