Dans un communiqué joint, les responsables locaux du parti, Raphaël Debû et Aline Guitard, dénoncent "une coloration politique évidente", soulignant que seul leur local a été vandalisé "à coup de tessons de bouteilles" dans la rue Colomès et le quartier des Pentes. Bilan : 10 vitres brisées.
Dans le viseur des deux représentants communistes : l'extrême-droite, les identitaires. "Chaque vitrine brisée, chaque militant agressé verbalement ou physiquement seront autant de motivation pour les communistes lyonnais à continuer la lutte au quotidien", écrivent Aline Guitard et Raphaël Debû, qui somment le maire de Lyon de "faire cesser les violences envers les progressistes de notre Ville, qui doit rester capitale de la Résistance et non fer de lance de la "bête immonde"".
"Cette attaque est indigne et lâche. Le 1er arrondissement ce n'est pas ça", a également réagi la maire du 1er Nathalie Perrin-Gilbert.
A noter qu'un rassemblement est organisé ce lundi à 18h30 au 1 rue Colomès dans le 1er arrondissement, pour dénoncer l'attaque subie par le local.
Soutenir des communistes alors que chaque manif d'extrême-gauche dégénère en pillages et violences anti-flics...
Signaler Répondrehttp://romainblachier.fr/violences-contre-le-local-du-pcf-croix-rousse-toute-ma-solidarite-meme-si-les-communistes-nen-veulent-pas/
Signaler Répondreun rassemblement où il faut montrer patte blanche
Dommage que seule la droite ose dénoncer et lutter contre ce parti qui a collaboré avec les 2 idéologies totalitaires les plus meurtrières du siècle dernier...
Signaler RépondreL'extrême-gauche est très rapide pour désigner ses coupables...
Signaler RépondreAllez, comme dans le temps: déportez les boucs émissaires au goulag !!!