Dès 20h, et jusqu’à plus de minuit, des membres de la communauté turque ont sillonné la ville à pied ou en voiture. Ils voulaient ainsi fêter la victoire du président turc sortant Recep Tayyip Erdogan à la présidentielle, dès le premier tour.
Ainsi, un long cortège de véhicules, klaxonnant sans interruption, a tourné durant de longues heures dans les rues du centre-ville. Quelques feux d’artifice et des fumigènes ont également été utilisés par les membres de la communauté turque, notamment au niveau de la place Bellecour.
Dans le fond c'est assez flippant.
Signaler RépondreQue des exilés politiques fassent la fête en France à la libération de leur pays pas de soucis ce serait une manifestation de joie légitime.
Mais que des partisans politique lancent un coup de force dans les rues de Lyon alors qu'ils sont libre d'être chez eux en Turquie (car visiblement pour eux la France c'est pas chez eux) ça ressemble plus à une tentative de communication agressive organisé par Ankara.
Méfiance Macron, Erdogan va te la faire à l'envers.
Regardez d'où vient ce que vous achetez, et... agissez en conséquence.
Signaler RépondreRien ne vaut le pouvoir économique.
Triste jour pour la turquie et bien sur les mêmes qui votent pour lui ne connaissent en rien la situation du pays.
Signaler RépondreS'ils aiment tant que ça la turquie et leur "président" (dictateur) qu'ils y retournent y vivre !
ils préfèrent la modernité et les allocs que le système moyen ageux
Signaler RépondreVive les kurdes !
Signaler Répondres ils sont heureux pourquoi ils ne retournent pas vivre en turquie? je ne comprend pas comment il est possible de venir vivre en France avoir envie d etre comme au pays d origine
Signaler RépondreLes grenouilles qui voulaient un roi -Jean de Lafontaine:
Signaler RépondreDonnez-nous, dit ce peuple, un Roi qui se remue.
Le Monarque des Dieux leur envoie une Grue,
Qui les croque, qui les tue,
Qui les gobe à son plaisir,
Et Grenouilles de se plaindre ;
Et Jupin de leur dire : Eh quoi ! votre désir
A ses lois croit-il nous astreindre ?
Vous avez dû premièrement
Garder votre Gouvernement ;
Mais, ne l'ayant pas fait, il vous devait suffire
Que votre premier roi fût débonnaire et doux :
De celui-ci contentez-vous,
Vive la France
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