Contrairement aux actes précédents, le gros des cortèges est resté en centre-ville, pour s’opposer aux forces de l’ordre. Ces dernières avaient prévu l’un des plus importants dispositifs de sécurité depuis le début du mouvement à l’automne dernier : des grilles anti-émeutes avaient notamment été installées pour bloquer les artères de la place Bellecour.
Cela n’a pas empêché la situation de déraper à de nombreuses reprises. Et notamment sous la trémie du pont de la Guillotière devant le Grand Hôtel-Dieu. Si la semaine dernière, des gilets jaunes lançait des projectiles sur les gendarmes en contrebas, ce samedi aurait pu se finir dans le sang entre manifestants et particuliers.
Pour une raison inconnue, des gilets jaunes ont tenté de rattraper une voiture grise coincée dans la circulation. Alors qu’un individu donne un coup de pied à l’arrière du véhicule, l’automobiliste opère une manoeuvre désespérée pour se sortir du guet-apens, manquant de peu de renverser l’attroupement et prenant ensuite la fuite à contre-sens avant d'être interpellé plus loin.
Dans le secteur Saxe-Gambetta/Guillotière, du gaz lacrymogène a été utilisé pour disperser les gilets jaunes les plus belliqueux.
Mais quand va t on enfin mettre fin à ces manifestation qui n’apporte rien ! Peut on pas frapper un bon coup une fois pour toute !
Signaler RépondreOui vraisemblablement ! Attaques en règle de personnes isolées. Belle mentalité de losers.
Signaler RépondreUne bonne fessée pour la raie à l'air si ce n'est un coup de pied au cul
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