Ils sont quatre sur la vidéo et une cinquième derrière la caméra. Le week-end du 18 janvier dernier, deux jeunes filles et deux jeunes hommes ont été filmés pendant qu’un acte sexuel, à l'extérieur de l'établissement scolaire. La vidéo a ensuite été diffusée sur les réseaux sociaux. Une vidéo qui a rapidement circulé dans le collège et les centres scolaires voisins.
Si certains élèvent rigolent maladroitement de cette scène, cela n'a fait pas sourire les parents et surtout la direction de ce centre privé catholique. Cette dernière a signalé la présence d'une telle vidéo à la gendarmerie, où une enquête est en cours. Mais la direction a voulu éviter tout ébruitement de l'affaire, demandant ainsi à l'équipe éducative la plus grande discrétion possible "pour le bien-être des élèves", relaye Le Progrès.
Une enquête sensible à mener
Néanmoins, les parents n'ont pas voulu garder le silence et ont fini par prévenir les médias ce vendredi. La direction a rapidement réagi en faisant parvenir un courrier détaillé à l'ensemble des parents d'élèves, dont certains n'étaient au courant de rien.
Alors qu'une enquête est ouverte pour « captation en vue de diffusion d’images de mineurs à caractère pornographique », la direction de l'école a tout d'abord proposé aux acteurs présents sur la vidéo un accompagnement psychologique. "Viendra ensuite le temps des sanctions", confie l’adjoint du directeur.
L'école a demandé aux parents de rappeler à leurs enfants l'illégalité de ces faits. En effet, le Code pénal indique que l'enregistrement, la diffusion ou la transmission d’images représentant un mineur dans une scène à caractère pornographique est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 € d’amende. Dans le cas, comme ici, d'une diffusion via un réseau de communication électronique, la peine peut même aller jusqu'à 7 ans d'emprisonnement et 100 000 euros d'amende. L'enquête est en cours même si, pour le moment, aucun protagoniste n’a été entendu.
C'est vrai qu'on peut se demander pourquoi alerter les médias alors que la police enquêtait, car l'exposition médiatique peut également être très difficile à supporter pour les victimes. Mais les parents ont sans doute de bonnes raisons qu'on ne connait pas.
Signaler RépondreLa cochonnaille !
Signaler RépondrePratique courante chez la franc maçonnerie
Signaler RépondreLes anti religions laïïïïquares cafards sont de sorties
Signaler RépondreDes élèves très mal élevés ces connu chez les cochon
Signaler RépondrePeut être que le coït est au programme de cette école catholique .
Signaler RépondreUne très bonne manière pour les enfants de petits bourgeois et des parvenus lyonnais, pour former leurs réseaux.... Une fois la reprise de la société de papa, l’exception deviendra la règle .... Très bonne école en tout cas. Coucou
Signaler Répondre« L’élite » neuvulloise et des monts d’Or peut dormir tranquille, Monseigneur Barbarin ne dira rien je vous le promets !!
Signaler RépondreC est qoi le rapport avec le college ?
Signaler RépondreLa direction veut éviter tout ébruitement de l'affaire......
Signaler RépondrePourquoi Lyon-mag et autres en font ils des articles ?