A Lyon, David Metaxas charge la PJ et plaide sa cause
L’avocat, mis en examen dans l'affaire de corruption présumée de l'ex-numéro deux de la PJ de Lyon Michel Neyret, a accusé mardi la police d'avoir produit un "faux grossier."
Les poursuites continuent pour Michel Neyret, l'ex-N°2 de la PJ de Lyon
La Cour d'appel de Paris a rejeté mardi en début d'après-midi les demandes en nullité de l'ancien directeur adjoint de la PJ de Lyon. L'ex-flic, mis en examen notamment pour "corruption" et "trafic de stupéfiants", continue donc à être poursuivi. Ses avocats contestent le fait que des écoutes téléphoniques ayant servi pour une autre enquête pour un trafic de drogue, et dans lesquelles le nom de l'ancien commissaire était cité, l'aient fait tomber. La défense a immédiatement décidé de se pourvoir en Cassation. Michel Neyret est en détention provisoire à la prison de la Santé depuis le mois d'octobre dernier. Et le tribunal de Paris devrait rendre en fin de semaine ou en début de semaine prochaine sa décision concernant une demande de remise en liberté de l'ancien policier. "Etant donné que la Cour a précisé que toute la procédure était régulière, cela peut laisser sous-entendre que sans doute MIchel Neyret n'a pas à être rmis en liberté", explique Me Gabriel Versini, l'un de ses défenseurs, "mais nous avons été entendu très longuement, pendant 6 à 7 heures. Michel Neyret a toujours déclaré des choses positives, sans nier sa part de responsabilité. C'est un homme qui a tout pour être remis en liberté."
Le déserteur lyonnais condamné
Ce jeune homme de 25 ans, ex-sergent de l'armée de l'air, a écopé d'une peine d'un mois de prison avec sursis, devant le tribunal en charge des affaires militaires à Marseille. En juillet 2011, il avait subitement quitté ses fonctions, sa démission venait d'être refusée. L'ancien militaire avait expliqué avoir été victime d'un bizutage durant lequel il aurait été passé à tabac. Une autre enquête est en cours pour déterminer si ces faits sont avérés.
Deux ans de prison ferme pour l'agresseur d'un contrôleur SNCF à la Part-Dieu
Suite à cette agression de jeudi dernier, les cheminots avaient exercé leur droit de retrait, ce qui avait entrainé de grosses perturbations vendredi sur le trafic des TER de la région. L'homme de 41 ans, condamné lundi, était alcoolisé au moment des faits. Il avait déjà été condamné une dizaine de fois pour des affaires sur fond de violence et d'alcool, et venait de sortir de prison.
Affaire Neyret : vers la remise en liberté de l'ex-super flic de Lyon ?
La cour d'appel de Paris doit rendre sa décision concernant les requêtes en nullité déposées dans cette affaire. La procédure pourrait tout simplement être annulée en raison d'irrégularités. A noter par ailleurs que c'est également cette semaine que les juges parisiens doivent se prononcer sur une demande de remise en liberté de l'ex numéro 2 de la PJ de Lyon, Michel Neyret.
Lyon : deuxième jour du procès d'un trafic international de drogue
Lundi, la procureure a requis dix ans de prison ferme contre deux des quatre accusés. En 2010, près de 150 kg d'héroïne et de cocaïne avaient été découverts à St-Genis-les-Ollières. L'avocat de la défense, David Metaxas, a mis en cause lundi l'enquête de la PJ, alors dirigée par Michel Neyret, aujourd'hui mis en examen pour corruption. David Metaxas est lui-même également mis en examen dans cette affaire Neyret pour recel de violation du secret de l'instruction.
Des supporters du PSG jugés pour une expédition punitive contre des supporters de l'OL
Les faits remontent à février 2007. De retour d'un match à Lille, cinq Lyonnais avaient été pris à partie sur une aire d'autoroute de l'Aisne par onze ultras parisiens. Ces derniers avaient saccagé leurs véhicules, tandis que les Lyonnais parvenaient à s'enfuir sous les insultes et les jets de fusées de détresse. Les supporters parisiens voulaient apparemment se venger des Lyonnais, accusés d'avoir proféré des insultes racistes. Plusieurs d'entre eux étaient déjà interdits de stade. Ils seront jugés à partir de ce lundi
Lyon : quatre personnes jugées pour trafic de drogue
C'est un procès un peu particulier qui s'ouvre ce lundi devant le tribunal correctionnel de Lyon. Quatre personnes sont soupçonnées d'être impliquées dans un trafic international de drogue. Le 12 mars 2010, à St-Genis-les-Ollières, l'antigang de Lyon mettait la main sur 110 kg d'héroïne et 54 kg de cocaïne, conditionnés en 120 000 sachets prêts à la revente. Valeur estimée : entre 2 et 3 millions d'euros. Cette opération avait été supervisée par Michel Neyret, l'ex-numéro 2 de la PJ de Lyon, un an avant son arrestation pour corruption présumée et trafic de stupéfiant. C'est l'une des plus grosses saisies de drogue en France.
Michel Neyret préfère Samy Nacéri au terroriste Carlos
Alors que la cour d’appel de Paris examinera mardi la validité des écoutes dans l’affaire Neyret, le Figaro revient sur ses sept mois d’emprisonnement à la Santé.
Michel Neyret pourrait sortir de prison dans les prochains jours
L'ex numéro 2 de la PJ de Lyon a été entendu pendant plus de six heures mercredi par les juges parisiens.
Quatre supporters de l'OL condamnés à St Etienne
Ils étaient six à comparaitre, mais seul quatre d'entre eux ont été condamnés à des peines allant de 800 à 1500 euros d'amende par la justice stéphanoise.
Lyon : un père de famille comparaît pour rébellion
C'est une affaire délicate qui est jugée devant le tribunal correctionnel de Lyon. Le 26 mars dernier, alors qu'un père de famille noir prenait le train avec sa fille de 4 ans, un agent de la SNCF lui avait demandé s'il avait « volé » cette fillette blonde. Selon le Progrès, il avait été arrêté à sa descente du train à la gare de la Part-Dieu et s'était rebellé, blessant deux policiers. Son avocat estime qu'on lui a "dénié sa paternité parce qu'il est noir". Le procureur a requis 100h de travail d'intérêt général. Le jugement sera rendu le 4 juin.
Six supporters de l'OL devant le juge
Ils sont accusés d'avoir dégradé des véhicules et le local d'ultras stéphanois. C'était à l'automne dernier lors d'un derby à St Etienne. Ils sont aussi accusés d'être les auteurs de tags xénophobes. Les prévenus ont expliqué ne se souvenir de rien. Le procureur a requis de 800 à 2000 euros d'amende, et 3 ans d'interdiction du stade Geoffroy Guichard. Le jugement devrait tomber aujourd'hui.
Sodexo condamnée par les Prud'hommes de Lyon
L'entreprise de restauration collective devra rembourser à deux salariés une journée de travail « gratuite » effectuée en mai 2008 dans le cadre de la journée de solidarité. Sodexo est épinglée pour ne pas avoir consulté les syndicats pour le choix de la date de l'application de cette journée.
Lyon : l'avocat David Metaxas mis en examen dans une nouvelle affaire
Après avoir été mis en examen dans l'affaire Neyret, David Metaxas est maintenant mis en examen pour violation du secret de l'instruction dans une affaire de saisie de stupéfiants en Côte-d'Or.
Le jugement des pirates bulgares rendu mardi
Dix personnes sont accusées d'avoir installé un système sur plusieurs distributeurs du centre-ville de Lyon en 2009 pour récupérer les données bancaires des clients. Ils avaient ensuite effectué des retraits à l'étranger pour un préjudice estimé à 300 000 euros. La semaine dernière le procureur a requis de 30 mois à 6 ans de prison.
La Licra devant la justice
Le tribunal correctionnel de Lyon doit examiner mardi à 14 heures la plainte déposée par l'association Regards de femme. Elle accuse la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme de diffamation, après la publication dans son bulletin du mois de janvier d'un dossier consacré à l'extrême droite à Lyon. L'association Regards de femmes y était qualifiée je cite de mouvement « raciste, xénophobe et révisionniste ».
Sept ans de prison ferme pour agression sexuelle
C'est la peine à laquelle a été condamné un homme de 32 ans par le tribunal correctionnel de Lyon pour agression sexuelle sous la menace d'une arme. Ce récidiviste avait déjà été condamné en 2009 à Toulouse pour avoir abusé 11 victimes. En 2011, cette fois, il avait suivi une jeune femme dans le métro puis jusqu'à son appartement du 9e arrondissement de Lyon. Il s'était fait passer pour un policier pour dissuader sa victime de porter plainte.
Le procès du Médiator est ouvert
Plus de 350 personnes demandent réparation au laboratoire Servier et à son fondateur. Parmi elles : plusieurs familles originaires de Rhône-Alpes, qui ont porté plainte et seront présentes au procès. Le Médiator, un médicament pour diabétiques largement détourné comme coupe-faim, est soupçonné d'avoir provoqué la mort de 500 à 2000 personnes entre 1975 et 2009. A noter que lundi matin, les avocats de Servier vont déposer deux questions prioritaires de constitutionnalité, demandant le renvoi du procès.
Un Lyonnais dépressif condamné pour avoir tiré des coups de feu en l'air
Le 5 avril dernier, ce membre de la communauté des gens du voyage avait tiré 28 coups avec sa Winchester et un pistolet. Passablement ivre et attristé par la mort à la naissance de sa fille quatre mois plus tôt, l'homme de 28 ans se défoule à sa manière près du camp de Surville dans le 7e arrondissement. Les policiers alertés l'arrêtent sur place et mettent la main sur un arsenal de guerre. En plus des armes qui ont servi à tirer, le gitan cachait des fusils, des revolvers et des carabines, le tout avec un stock de munitions conséquent. Et au passage 100 grammes de cannabis, 1 gramme de cocaïne et une balance de précision... Convoqué devant la justice, l'homme a écopé de quinze mois de prison avec sursis et mise à l'épreuve pendant deux ans. Une forme de relaxe car aucune victime n'a été à déplorer.