"Pourtant ces personnels sont intervenus dans les locaux durant le confinement pour assurer la sécurité des agents réquisitionnés sur site en nettoyant méticuleusement les postes de travail. Ajoutons que les personnels d’entretien ont ensuite été appelés pour un nettoyage complet des locaux la dernière semaine du confinement du 4 au 11 mai", précise le syndicat.
Et la CGT de rappeler que "la prime COVID-19 a été versée à des dizaines d’agents du rectorat de Lyon et de la DSDEN69 sur paie d’août selon 3 taux (330, 660 et 1.000 euros)".
Aujourd’hui les agents de l’équipe d’entretien du rectorat de Lyon et de la DSDEN69 revendiquent le versement de la prime COVID-19 au moins au taux minimal de 330 euros.
Exact : dans cette crise, comme au quotidien, les « premiers de corvée » ont été plus utiles et loyaux que nos gouvernants et leurs soit-disants « premiers de cordée » (spéculation à court terme, délocalisations...)
Signaler RépondreMême si une meilleure considération, symbolique et matérielle, vaudrait mieux qu’une prime
Un article dans je sais plus quel magasine a dit :
Signaler Répondre"Le Covid aura montré que les métiers les plus indispensables à la société, sont les plus mal payés"