Un détenu se serait vu refuser l’accès à l’infirmerie par l’une des surveillantes ce qui a provoqué une altercation. Après avoir mis un coup de pied dans une porte et insulté la jeune femme, l’individu a finalement regagné sa cellule. Deux autres hommes qui se trouvaient dans la même cellule ont alors projeté du mobilier et des débris de verre sous la porte. Le personnel pénitencier est intervenu mais l’un des détenus a porté des coups sur deux agents les blessant aux bras et à la main. Le syndicat UFAP UNSA a dénoncé un manque d’effectifs qui conduit à un "engorgement de la maison d’arrêt et augmente les risques pour le personnel".
Nouveau complot fasciste ou nouvelle dérive de l'état (policier) d'urgence ?
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