Après avoir été victime d'un vol de papiers et de portable, il souhaitait informer les policiers. Sauf que le poste de la gare n'était pas encore ouvert. Devant absolument partir et prendre son train pour la Bourgogne, il s'était rendu dans le Quick de l'esplanade pour demander au gérant d'appeler les forces de l'ordre. Refus de son interlocuteur qui sera très mal perçu par l'intéressé.
C'est à ce moment-là que les versions divergent : selon le gérant du Quick, l'individu a dit qu'il avait une bombe. Mais le Dijonnais indique plutôt avoir menacé de le "bomber" s'il n'appellait pas la police pour l'aider, comprendre le frapper.
Déjà condamné à plusieurs reprises, l'homme a écopé à Lyon de quatre mois de prison, ainsi qu'un mois supplémentaire pour avoir refusé le prélèvement de ses empreintes biologiques.
Tout ça pour "informer les policiers". Il croyait quoi ? Que la police aurait retrouvé son voleur dans la minute ? Il aurait pu déposer plainte près de chez lui s'il était si pressé de partir. Parce qu'à l'arrivée, il n'a pas pris son train et dispose maintenant de 4 mois pour y réfléchir....
Signaler RépondreLes effets secondaires du terrorisme , ont pour consequence d'avoir installer chez beaucoup de personne , un prisme deformant de la realiter . L'analyse et la perception du quotidien ne se fait plus de maniere claire et objective , ce qui est deja pas facile en temp normal , mais plutot en mode etat d'urgence vigipirate , rouge ecarlate vif .
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