Le 2 décembre 2014, ce ressortissant turc avait croisé trois adolescentes dans la galerie marchande d'un centre commercial. Après les avoir abordé et tenté d'engager la conversation, il passe sa main sur les fesses de l'une d'entre elles, âgée de 14 ans.
Aux gendarmes, il expliquera ensuite qu'il s'agissait de sa fille et qu'il voulait lui faire part de son amour de père. Des propos décousus pour ce marginal qui reconnaîtra ensuite passer ses journées à tourner en rond dans son appartement. Et qui indiquera entendre des voix.
Son avocat a expliqué à la justice son parcours chaotique et son agression en prison à son arrivée de Turquie durant laquelle il a perdu un oeil.
Le Progrès rapporte qu'il a finalement été condamné à 18 mois de prison avec sursis avec mise à l'épreuve, obligation de soins et interdiction de rentrer en contact avec sa victime qu'il devra indemniser.
Commentaires 3
Déposé le 05/01/2017 à 07h39
Par anti hollande Citer
Déposé le 04/01/2017 à 16h46
Par xlinx69 Citer
Déposé le 04/01/2017 à 08h48
Par Marie et Joseph Citer
A force de refuser de nommer les délinquants en ces temps de liberté d'expression à géométrie variable notre langue n'aura plus de mots de substitution.