Jacques Chirac, alors président de la République, et Charles Millon voulaient mettre fin à la pratique des rétrocommissions : des pourcentages supplémentaires que s’octroyaient des intermédiaires.
La justice française s’intéresse à un possible lien entre la décision de Jacques Chirac et Charles Millon d’empêcher ces commissions et un attentat commis en 2002 au Pakistan. Celui-ci avait fait quatorze morts dont onze ingénieurs français de la DCN. Mais le parquet affirme que l'enquête antiterroriste n'a pas apporté à ce jour "d'élément objectif" pour le relier à un contentieux franco-pakistanais sur ce dossier.