Les policiers de la Brigade spécialisée de terrain (BST) du 8e arrondissement ont procédé, dimanche 23 novembre 2025, à deux séries d’interpellations sur le boulevard des États-Unis à Lyon. L’opération a été menée dans le cadre d’un flagrant délit, après la mise en place d’un dispositif de surveillance sur un point de trafic situé à l’arrière du PMU de la rue Professeur Beauvisage (Lyon 8e).
Selon nos informations, des effectifs en civil positionnés en appui — l’un en point haut, l’autre à trottinette — ont pu observer deux individus en train de se livrer à un trafic de produits stupéfiants.
À 17h15, les policiers interpellent un premier homme, présenté comme l’acheteur, devant le 166 boulevard des États-Unis. Il s’agit d’un jeune de 22 ans originaire de Guinée.
Accompagnés de la GSP, les agents de la BST retournent ensuite sur le point de deal afin d’interpeller les deux vendeurs. Alors que les fonctionnaires se présentent, l’un d’eux tente de prendre la fuite en trottinette. À la vue des policiers, il percute involontairement le policier en civil placé en surveillance, avant de poursuivre sa fuite à pied. Il est finalement rattrapé et interpellé par ce même fonctionnaire. Le policier souffre d’un hématome au tibia, sans gravité.
Les deux vendeurs, l'un âgés de 19 ans, né à Biella (Italie), sans domicile fixe, et l'autre agé de 24 ans, né à Tlemcen (Algérie), également sans domicile fixe, sont placés en garde à vue.
Grâce aux indications transmises par l’effectif en surveillance, les policiers découvrent sur place plusieurs cachettes contenant : 25 tulipes et 12 capsules de résine de cannabis.
Si si c'est bien des tulipes, dans les tubes en plastique
Signaler RépondreNon du à la misère
Signaler RépondreC'est des olives pas des tulipes mdr et c'est du shit
Signaler RépondreC'est quoi les "tulipes" ?
Signaler RépondreMade in étrangers....
Signaler RépondreQu'ils se fassent soigner sans leur pays.
Signaler RépondreEncore une histoire de toxicos, qui se répètent ad vitam eaeternam, Ces gens sont malades et ne s'en rendent pas compte.Au même titre que la folie ces gens ont besoin de soins et non de répression constante.
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