Alors qu'il avait arrêté son traitement pour soigner ses troubles bipolaires, il s'était fait remarquer à la caisse réservée aux personnes handicapées d'une grande surface caladoise.
Il expliquera aux juges s'être senti investi d'une "mission pour sauver le monde". Le "leader révolutionnaire" armé de manches à balai avait alors frappé un client qu'il trouvait mal aimable et un policier qui venait l'interpeller.
Aujourd'hui stable car suivant un traitement plus lourd, il a écopé de 2 mois de prison avec sursis et devra verser 800 euros de dommages et intérêts au policier.
Commentaires 7
Déposé le 13/11/2018 à 13h48
Par hihihi Citer
Déposé le 09/11/2018 à 08h38
Par Loulou Citer
Déposé le 09/11/2018 à 05h52
Par Contre Citer
Déposé le 07/11/2018 à 20h00
Par Justice pour les "notables" ? Citer
Je n'encourage pas le comportement de la personne bipolaire ni ne cherche à l'excuser, mais si son psychatre lui avait prescrit initialement un traitement pas assez adapté à sa pathologie et qui semble avoir été renforcé aujourd'hui....quid de sa responsabilité ?
Je pense que le psyl aurait largement les moyens de participer aux dommages et intérêts et ça en inciterait peut être certains à suivre d'un peu plus près leurs patients, pas uniquement pour renouveler les ordonnances tous les 3 ou 4 mois...
Déposé le 07/11/2018 à 14h55
Par Non à LaRem Citer
Par Post monétaire Citer
"justice monétaire."
Déposé le 07/11/2018 à 11h02
Par veau en veut l'ain Citer