Les travailleurs sociaux mobilisés
Ils sont réunis lundi à la Bourse du travail de Lyon à la mi-journée pour dénoncer leur convention collective qui date de 1966. Avant cela, ils vont faire entendre leurs revendications devant la préfecture. Les syndicats souhaitent que les nouveaux emplois et les nouvelles activités soient introduits dans le texte. Ils demandent également que l’obtention d’une qualification professionnelle soit une condition nécessaire à l’exercice de leur activité.
Une grève dans les collèges et lycées vendredi
Les enseignants protestent contre les réformes dans l’éducation nationale. Autre revendication : la diminution des dotations à la prochaine rentrée… c'est-à-dire moins d’heures d’enseignement alors que le nombre d’élèves augmentent. Une manifestation est prévue à Lyon à 10 heures depuis la place des Terreaux jusqu’au Rectorat. Le cortège s’arrêtera notamment devant les permanences de campagne du PS et de l’UMP pour déposer des cahiers de doléances et de revendications.
Une grève jeudi à Saint Priest
Une soixantaine de salariés de Segula Technologies Sud ont occupé les locaux du site. La direction a accepté de rencontrer les représentants syndicaux, qui réclament une augmentation générale des salaires de 3,5%. Selon les syndicats, une soixantaine de salariés auraient été licenciés et une quarantaine seraient partis d’eux même sur les 480 travaillant dans le quart Sud Est de la France. La direction a mis en place des mesures de chômage partiel dans cette entreprise d’ingénierie.
4 plateformes de supermarchés en grève
Ce sont des dépôts Système U qui régulent habituellement l’envoi des marchandises dans une centaine de magasins du groupe de la région qui sont bloqués. Les rayons pourraient rester vides si la grève n’est pas suspendue rapidement.
Les éboueurs en grève
Ils déposent un préavis de grève pour une durée illimitée à partir de vendredi. Au cœur des revendications : une hausse des salaires et la reconnaissance de la pénibilité de leur travail. A Lyon, la mobilisation pourrait atteindre les 30%.
Le trafic TCL perturbé, jeudi, par une grève
Le service est assuré globalement à 81%. Il n’y aucune perturbation sur les lignes C et D du métro mais sur les lignes A et B le temps d’attente est rallongé et surtout le service finira à 20h30. Trois lignes de bus sont à l’arrêt : 42 E, 59 E et 65, d’autres circulent soit en horaire du samedi, du dimanche, voire des vacances scolaires. Une cinquantaine de lignes sont limitées, enfin 80 assurent un service normal. Ce mouvement de grève est lancé dans une trentaine de villes qui délèguent la gestion de leurs réseaux à des organismes privés. A Lyon, le réseau de transport en commun est géré par Keolis.
Les médecins généralistes en grève
Ils sont appelés par leurs syndicats à fermer leur cabinet pour protester contre le refus du ministère de la santé d’augmenter d’un euro le prix d’une consultation.
Les infirmiers-anesthésistes mobilisés jeudi
Qu’ils travaillent dans le public ou dans le privé, ils s’inquiètent de la réforme proposée par la ministre de la santé Roselyne Bachelot.
Les éboueurs en grève demain et pour une durée illimitée
A Lyon, on attend une mobilisation de 30%. Les éboueurs demandent des salaires plus élevés et la reconnaissance de leur métier difficile.
Grève des équipements petite enfance à Villeurbanne
Plusieurs équipements Petite enfance seront fermés jeudi à Villeurbanne. Leurs employés participent à un mouvement national contre le décret assouplissant les modalités d'encadrement des jeunes enfants. Liste des centres d’accueils affectés par ce mouvement de grève : - le Centre de l'enfance François-Truffaut, Pauline-Roland, CPE, CF Pierrot, Nelly-Roussel, Désirée-Gay, Jeanne-Deroin, Eugénie-Niboyet, Pauline-Kergomard, RAM Herriot, RAM Berty-Albrecht (fermé le matin mais ouvert l'après midi), RAM Renan (fermé 1 heure) - le centre multi accueil Victor-Hugo sera partiellement ouvert - le centre multi accueil Flora-Tristan sera ouvert - les Haltes-garderies La Perralière et Les Samourais seront ouvertes A noter que la crèche l'Hormat, les équipements multi accueil Hannah Arendth et Pierrot s'en va en garde et les RAM Dolto, Pierrot s'en va-t-en garde , Perralière, Camus, St Jean pourraient également être affectés par cette grève.
Une grève dans l'éducation nationale vendredi
A Lyon, le Snes-FSU appelle à la manifestation vendredi en fin de matinée au départ des Terreaux.
Nouvel appel à la grève dans les raffineries françaises
L’appel vient d’être lancé par la CGT pour le 15 avril. Un premier mouvement avait paralysé les raffineries du groupe Total dont celle de Feyzin fin février. A Lyon, un début de pénurie avait touché certaines stations-services.
Une grève aux TCL jeudi
81% du trafic sera assuré sur l’ensemble du réseau. Il s’agit d’un mouvement de grève national, lancé dans une trentaine de villes de France qui délèguent la gestion de leurs réseaux à des organismes privés. A Lyon, le réseau de transport en commun est géré par Keolis. Les syndicats dénoncent une "privatisation déguisée".
La justice dans la rue
Une centaine de magistrats et avocats se sont rassemblés mardi après-midi devant le palais de justice dans le 3e arrondissement.
Les profs du collège Barbusse de Vaulx-en-Velin toujours en grève
Mardi après-midi, ils se sont rassemblés devant l’inspection académique dans le 7e arrondissement.
Une grève aux TCL jeudi
81% du trafic sera assuré sur l’ensemble du réseau. Il s’agit d’un mouvement de grève national, lancé dans une trentaine de villes de France qui délèguent la gestion de leurs réseaux à des organismes privés. A Lyon, le réseau de transport en commun est géré par Keolis. Les syndicats dénoncent une "privatisation déguisée". METRO, service assuré à 82 % Ligne A : une rame toutes les 5 à 7 minutes de 6h30 à 20h30 Ligne B : une rame toutes les 7 minutes 30 minutes à 10 minutes de 6h30 à 20h30 Ligne C : service normal Ligne D : service normal FUNICULAIRE Saint Just : en arrêt pour travaux – navette bus de remplacement toutes les 20 minutes Fourvière : une rame toutes les 5 à 10 minutes de 11h30 à 18h30 (navette bus en complément) TRAMWAY, service assuré à 93 % T1 : une rame toutes les 7 minutes T2 : une rame toutes les 7 minutes T3 : une rame toutes les 7minutes 30 à 15 minutes (arrêt après 21h en raison des travaux préparatoires à l’arrivée de Rhônexpress) T4 : une rame toute les 7 minutes 30 BUS, service assuré à 75 % 98% des lignes circulent avec des fréquences adaptées Tous les services scolaires sont assurés Détail des lignes régulières disponible sur www.tcl.fr
Peut-être une nouvelle grève à la Raffinerie de Feyzin
Les responsables syndicaux lyonnais sont revenus mécontents du Conseil Central d’Entreprise qui s’est tenu à Paris lundi. Des réunions entre les responsables syndicaux sont prévus mardi à Feyzin, avant une possible réunion avec les salariés, dans l'après-midi ou mercredi, pour décider de la suite à donner au mouvement. La direction de Total a assuré aux syndicats que les 370 emplois du site de Dunkerque seront maintenus, malgré sa fermeture. Un terminal méthanier sera construit en collaboration avec EDF, ainsi qu’un dépôt et un centre technique pour les activités pétrolières. L'interview de Ludwig Pistilli, délégué CGT à la raffineire de Feyzin : "Le mouvement va être très dur"
Préavis de grève à la SNCF pour le 23 mars
Au moins trois syndicats appellent à une journée d'action interprofessionnelle pour l'emploi, le pouvoir d'achat, les services publics et les retraites.
Une "nuit blanche" au centre hospitalier du Vinatier
Elle est organisée mardi de 19h à minuit par des organisations syndicales et des partis politiques.
Raffinerie de Feyzin : «La direction de Total se moque ouvertement de nous»
Lundi matin s’est tenu le comité central d’entreprise de Total concernant la situation des sites de raffinage en France. Le mouvement de grève d’une semaine et le spectre de la pénurie avaient d’ailleurs forcé le gouvernement à intervenir dans le dossier fin février. Et le comité très attendu n’a pas vraiment satisfait. Pour Ludwig Pistilli, délégué CGT à la Raffinerie TOTAL de Feyzin, le propos entendu reste le même et les solutions proposées sont insuffisantes. A telle enseigne que les syndicats sont déterminés, si les salariés suivent, à aller au bout de leur mouvement. Et en bout de chaîne, on craint évidemment la pénurie. Interview.