L'homme aurait abordé les femmes sur les quais en les "collant". Devant leurs refus, il les aurait insultées et menacées en agitant un briquet devant leurs visages : "je vais vous cramer", d'après le Progrès.
Lors du procès, le prévenu s'explique : "elles me regardaient de travers (…) je voulais qu'elles changent leur regard envers moi".
Le prévenu, atteint de trouble psychique grave, suit un traitement pour schizophrénie. Il parle fort et s'exprime avec de grands gestes. L'homme de 26 ans, possédant déjà 18 antécédents judiciaires, a été condamné à quatre mois de prison ferme, un an d'interdiction de port d'arme et un an d'interdiction d'entrer dans la gare de la Part-Dieu.
"Certains se croient à l'abri derrière des murs, mais ces murs sont illusoires"
Signaler RépondreDit le mec qui a passé plus de temps que n'importe qui devant son ordi, du matin au soir, depuis 10 ans.
La réalité, le dehors, les gens, ça vous est étranger, vous existez que virtuellement, du coup vous êtes en train de dire
faites ce que je dis pas ce que je fais
Comme les pervers.
"...............vous noterez que le juge ne l'a pas fait interner en HP... ................."
Signaler Répondrec'est bien le problème que j'ai dénoncé.
L'internement en prison coûte moins cher à court terme que d'avoir du personnel soignant.
"........................si il s'en était pris à vos enfants, vous seriez tout aussi bisounours?........................"
et si le bisounours, c'était celui qui croit qu'en tapant plus fort, en utilisant la violence, on résout les problèmes ?
Encore une fois et comme d'habitude à travers vos multiples pseudonymes sur ce forum, vous confondez "comprendre la situation" et "accepter la situation".
Comme vous n'êtes pas dans cette démarche de comprendre l'enchainement des causes et des effets, vous vous auto-condamnez à revivre encore et encore le cauchemar.
Certains se croient à l'abri derrière des murs, mais ces murs sont illusoires, ils sont juste là pour cacher les problèmes.
Trouver des excuses à tous les délinquants ou criminels, on a largement donné. On voit le résultat aujourd'hui.
Signaler RépondreIl est temps de se retrousser les manches et rendre la société plus vivable pour tout le monde. Et traiter les problèmes avec des solutions efficaces et musclées.
Vous allez sans doute me taxer d'extrême droite, mais la question n'est pas là. Juste prendre conscience que le laxisme et les oeillères du vivre-ensemble-bobo-gaucho, ça ne marche pas et c'est nuisible pour la société.
Pour le cas ici, vous noterez que le juge ne l'a pas fait interner en HP... et si il s'en était pris à vos enfants, vous seriez tout aussi bisounours?
Encore un dézingué du cannabis ! Merci qui ? Les jolis champs de cannabis du Maroc, qui n'est jamais inquiété ?
Signaler RépondreCherchez l'erreur.......
Vous avez remarqué qu'il est précisé clairement que cette personne est malade psychologiquement ?
Signaler RépondreEt vous approuvez qu'elle aille "en prison" pour être... soignée ?
Vous pensez qu'il va ressortir en meilleur état ?
Vous vous rendez compte qu'avec cet exemple, on a le symbole d'une société monétaire incapable de résoudre les problèmes ?
Pourquoi il n'y a toujours pas de cours de psycho dans toutes les écoles ?
Comprendre que cette personne souffre de frustration affective n'excuse pas ses paroles, mais permet de changer de méthode de soin.
(méthode actuelle : soin ? = prison)
Il faut euthanasier ce genre d'individu...
Signaler RépondreAlors ! elle est bien bonne celle là , interdiction de port d'arme pendant 1 an . Alors il aura le droit de recommencer ?
Signaler Répondre"Interdiction de port d'arme" ?
Signaler RépondreHa bon, je savais pas qu'il fallait être taré pour ça
C'est interdit en général non ?
. Quatre mois de prison ferme: donc au plus lourd, bracelet électronique et chez lui. Si tant est que le juge d'application des peines s'en occupe.
Signaler Répondre. Un an d'interdiction de port d'arme et un an d'interdiction d'entrer dans la gare de la Part-Dieu: qui va l'en empêcher, concrètement? personne.
26 ans, déjà 18 antécédents judiciaires.
-> Un cas désespéré mais en liberté.