Défenestration d’une femme à Décines : son compagnon laissé libre

Défenestration d’une femme à Décines : son compagnon laissé libre
Photo d'illustration - LyonMag

Les investigations de la justice lyonnaise se poursuivent après le drame.

Après la défenestration mortelle d’une femme âgée de 29 ans, ce dimanche à Décines, son compagnon a été placé sous contrôle judiciaire mardi soir. D’après son avocat, maître David Metaxas, il devait être laissé libre dans la foulée. Le Parquet de Lyon réclamait un placement en détention provisoire. Pour rappel, le trentenaire avait été placé en garde à vue dans la foulée des faits qui s’étaient déroulés vers 21h avenue Salvador-Allende.

Selon des informations du Progrès, et confirmées par nos sources, une information judiciaire a été ouverte pour violences volontaires par conjoint ayant entraîné la mort sans intention de la donner, mais aussi pour violences volontaires par conjoint et harcèlement par conjoint. L’homme soupçonné dans cette affaire est désormais mis en examen pour violences habituelles et harcèlement ayant conduit au suicide.

La piste du meurtre sur conjoint semble ains s’éloigner. L’enquête se poursuit pour confirmer ou non la piste du suicide.
 

X
11 commentaires
Laisser un commentaire
avatar
Reine le 12/01/2024 à 06:35

Il est forcément à l’origine du mal-être de son épouse et donc du suicide….encore un mâle tout puissant qui harcèle, terrifie et traumatise femme et enfants … des prédateurs comme Cantat et tant d’autres

Signaler Répondre

avatar
moi le 11/01/2024 à 11:43
Memphis a écrit le 10/01/2024 à 12h50

Metaxas ? Pas la peine de préciser l’origine du "compagnon"

c’est bien vrai ça … mais chutttt pas d’amalgame

Signaler Répondre

avatar
Ness1975 le 11/01/2024 à 10:29
Memphis a écrit le 10/01/2024 à 12h50

Metaxas ? Pas la peine de préciser l’origine du "compagnon"

Exact !

Signaler Répondre

avatar
Barbarie le 10/01/2024 à 20:02

Je ne sais pas comment ce genre de mec peut se regarder dans le miroir. Ils sont à vomir ! J’espère que les enfants vont lui être retirés. Les pauvres, je ne veux pas être pessimiste mais avec ce qu’ils ont vécu, ils vont sûrement en souffrir toute leur vie et avoir divers problèmes d’adaptation suite aux traumatismes. Ce mec a détruit plusieurs vies, si tant est qu’il n’as pas tué sa compagne de ses mains. Il se comportera pareil avec la prochaine. Les juges sont complètement fous si on lui laisse les enfants !

Que la jeune femme soit enfin en paix. Personne ne vient au monde pour subir cette barbarie.

Signaler Répondre

avatar
Ex Précisions le 10/01/2024 à 18:15

"Va-y Germaine saute avant que je te frappe", et après "non c'est pas moi c'est elle qui a sauté toute seule".
Le juge "Bien monsieur on vous libère vous devez être en peine"...

Signaler Répondre

avatar
Memphis le 10/01/2024 à 12:50

Metaxas ? Pas la peine de préciser l’origine du "compagnon"

Signaler Répondre

avatar
Suet le 10/01/2024 à 11:14
ahmed j. a écrit le 10/01/2024 à 08h18

Pour rappel, Metaxas c'est l'avocat de Tebbal. C'est l'avocat qu'on a pas le droit de critiquer.

Surtout quand il ne va pas dans votre sens 😉

Signaler Répondre

avatar
Maximus Décimus le 10/01/2024 à 09:20

L'exemple type d'une schymogénése complémentaire !

Celà ce fini toujours mal !

Signaler Répondre

avatar
bipbip le 10/01/2024 à 08:35

1er feminicide 2024 à Lyon

Signaler Répondre

avatar
ahmed j. le 10/01/2024 à 08:18

Pour rappel, Metaxas c'est l'avocat de Tebbal. C'est l'avocat qu'on a pas le droit de critiquer.

Signaler Répondre

avatar
Free Lyon le 10/01/2024 à 08:17

Metaxas OK on a compris

Signaler Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.
Les champs requis sont identifiés par une étoile *
Si vous avez un compte Lyon Mag, connectez-vous.
Nous ne vous enverrons pas d'email sans votre autorisation.

Le compte Lyon Mag est gratuit et facultatif. Il vous permet notamment de réserver votre pseudonyme pour les commentaires, afin que personne ne puisse utiliser le pseudo que vous avez enregistré.
Vous pouvez créer un compte gratuitement en cliquant ici.