Tout au long du récit, on sent que l’humain est au centre de tout. C’est la condition pour être un bon agent ?
C’est une éducation que j’ai eue et reçue de mes parents… L’humain est au cœur de tout de ce que je fais. Un agent, s’il ne pense qu’à l’argent, c’est un mauvais agent. On ne se rend pas compte à quel point un joueur de football de haut niveau peut être soumis à une pression. Il faut de l’humain derrière, sinon, les joueurs deviennent des machines.
Comment est-ce que vous décririez le métier ? Ça ressemble beaucoup à un jeu d’échec ?
J’ai compris très vite, grâce à Jean-Michel Aulas qui m’a beaucoup appris, que c’est un jeu de Mikado. Le dernier qui... (Lire la suite sur Lyonfoot.com)