Ce jour-là, un téléphone portable est découvert dans la cellule d’un détenu incarcéré depuis juin 2023. Si la détention d’un tel objet en prison ne relève pas systématiquement du tribunal correctionnel, le profil du prévenu et l’usage qui était fait de l’appareil ont motivé des poursuites judiciaires, précise le Progrès.
Selon les éléments exposés à l’audience, ce téléphone servait à maintenir une pression sur son ancienne compagne, après une condamnation pour violences conjugales. Des faits commis alors même que l’homme purgeait déjà une lourde peine de prison.
Âgé de 34 ans, le prévenu n’a pas souhaité comparaître, ni physiquement ni par visioconférence. Seule son avocate était présente pour assurer sa défense, évoquant une prise en charge médicale et un suivi psychiatrique en détention pour sa schizophrénie.
Le tribunal de Villefranche-sur-Saône a finalement prononcé une condamnation à trois mois de prison ferme. Cette peine s’ajoute à celles déjà en cours d’exécution. Sa date de libération était initialement prévue en avril 2029.
C'est étonnant beaucoup de délinquants sont défendus en disant que ce sont des malades mentaux, ou aussi pour ceux qui ne sont pas en taule amnésiques sous l'effet d'alcool ou de stupéfiants...
Signaler RépondrePas systématiquement.
Signaler RépondreUn volet psychiatrique dans l'affaire, bonjour l'embrouille.
Signaler RépondreJ'imagine la frayeur de son ex quand ce taré va être libéré.
Signaler RépondreNotre société n'a pas les outils pour gérer ce genre d'individu.
Le prénom c’est bien ça permet de savoir les origines tout en respectant la loi
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