Vendredi 17 Septembre 2010 à 08h25
Les traces ADN ne sont pas des preuves suffisantes pour établir la culpabilité
C’est ce qui ressort de l’audience de jeudi devant le tribunal correctionnel de Lyon et qui a abouti à la relaxe de deux jeunes originaires de la Loire. Ils ont reconnu s’être introduits dans le garage d’une maison de retraite du 3e arrondissement un soir d’avril 2009. Leurs traces ADN avaient été retrouvées sur des gobelets en plastique, mais les deux jeunes ont nié à la barre être à l’origine de l’incendie qui s’y était déclaré.
Le bénéfice du doute a permis leur relaxe.