La cour d'appel de Paris a rejeté vendredi soir la demande de remise en liberté du numéro 2 de la PJ lyonnaise. Les réquisitions du parquet général ont donc été suivies. Son placement en détention provisoire est confirmé, Michel Neyret se trouve derrière les barreaux de la Santé depuis le 3 octobre dernier.
Selon ses avocats, le "super-flic' admet certains faits qui lui sont reprochés, notamment l'utilisation de drogue pour rémunérer des indics. Des pratiques qui se sont faites dans le cadre de son métier. Il réfute ainsi les accusations d'enrichissement personnel grâce au commerce de cette même drogue.
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