Arrêté dimanche dans Lyon, cet habitant de Vaulx-en-Velin a reconnu les faits qui lui étaient reprochés par une amie âgée de 18 ans.
Cette dernière avait fêté le week-end dernier son anniversaire dans un établissement de nuit de Solaize. Trop ivre pour rentrer chez elle, la jeune femme avait été raccompagnée par l'individu en voiture. Il avait alors profité de son inconscience pour la violer dans le parc de Parilly avant de la déposer chez elle après lui avoir offert un hamburger...
C'est à son réveil que la victime avait eu des flashs du viol mais aussi des séquelles physiques.
Son "ami" avait déjà été condamné pour une agression sexuelle dans le passé, était inscrit au fichier des auteurs d'infractions sexuelles.
Mais il faut aussi se méfier de la "Justice" : ces affaires de mœurs sont souvent jugées d'une façon expéditive au détriment de la présomption d'innocence : rappelons-nous l'affaire d'Outreau, voire les affaires Strauss-Khan, et d'autres encore : on vous expédie en prison, vous êtes humiliés publiquement, socialement, votre famille détruite, votre emploi, , vie, etc. , tout détruit sur la base d'un simple témoignage et après on vous relâche piteusement en catimini. Cela n'est pas non plus de la justice !
Signaler RépondreC'est donc qu'il a des éléments probants qui n'étaient pas mentionnés précédemment. J'avais lu qu'il s'agissait d'une jeune femme ivre en boite de nuit, s'étant fait raccompagnée par un homme et s'étant plainte de viol le lendemain sur la base de réminiscences. Cela me semblait un peu léger pour porter une accusation aussi grave.
Signaler RépondreCependant je n'approuve pas le comportement de cette femme et si c'était ma fille elle aurait été sérieusement mise en garde contre de tels comportements et leurs conséquences possibles voire probables. Qu'elle soit venue se plaindre par la suite quel père n'aurait pas eu envie de lui rétorquer :" je te l'avais bien dit !". vrai ou faux ?
Alors certes il y a peut-être eu viol, mais on sait que ça existe malheureusement dans certaines circonstances et il convient aussi de prendre ses précautions comme de sanctionner réellement et efficacement, c'est-à-dire durablement, les violeurs. Ce n'est pas le cas actuellement.
Donc je maintiens : tout faux :
1) absence d'éducation, de valeurs : aimeriez-vous que votre fille aille se "cuiter" en boite et se fasse raccompagner par n'importe qui ?
2) absence de sanction réelle pour les coupables : le concept de récidivistes ne devrait pas exister. Et comme on a parlé de politique ni la droite ni la gauche n'ont su y mettre un terme comme c'est le cas ailleurs dans le monde civilisé !
@ Alexandre, la "surprise" comprend également l'état alcoolique où la personne ne peut donner ou non son consentement. Comme l'explique l'article, la victime était très alcoolisée donc cela entre bien dans ce cadre, si je puis dire.
Signaler RépondreDe plus, elle a porté plainte le lendemain et celui-ci a avoué, donc le viol est avéré.
La responsabilité du viol incombe uniquement au violeur et non à la victime.
Si vous êtes victime d'un vol, vous n'aimeriez pas qu'on dise que c'est de votre faute...
Mon but n'est pas de dénoncer le machisme mais de faire prendre conscience de certaines paroles. Beaucoup de gens mettent en doute la véracité des propos des personnes violées et c'est ce qui les poussent à ne pas porter plainte. Il n'y a que 10% des victimes qui osent.... Combien de personnes en détresse car elles n'osent pas parler à la police ou à leurs proches par honte ou par peur d'être jugé (au féminin car c'est une majorité, mais le masculin fonctionne également).
Il faudrait plutôt encourager ces actions pour que ces violeurs soient jugés et ne puissent plus agir de la sorte.
L'acte est horrible, peu importe les circonstances et il doit être puni.
Je trouve la discussion intéressante. le viol est défini comme :
Signaler Répondre" Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu'il soit, commis sur la personne d'autrui par violence, contrainte, menace ou surprise est un viol."
En l'occurrence, tel que les faits nous ont été relatés, ni la violence, ni la contrainte, ni la menace ou la surprise n'apparaissent.
Par ailleurs, et je le maintiens, vous dîtes il faut que jeunesse se passe, comme dit l'adage, mais elle se passe aussi avec le sexe comme avec l'alcool, et rien ne prouve que cette jeune femme n'était pas consentante.
Son comportement, au contraire, évoque une "liberté" de mœurs de nature à favoriser ce genre d'événements : boite de nuit, alcoolisation extrême, rencontre fortuite (n'avait-elle pas des amis pour la raccompagner ou a t-elle préféré partir avec cet homme ?) , tout cela sont des circonstances qui ne permettent pas de porter le jugement de viol tel que définit par l'esprit de la loi.
Certes il faut que jeunesse se passe mais il faut aussi responsabilité garder, sa propre responsabilité-surtout à 18 ans) et surtout ne pas crier au loup à tout propos car c'est devenu en quelque sorte une "mode" de dénoncer un machisme ...imaginaire.
je réponds "par accident" à "Pavé".
Signaler RépondreSur le fond de l'affaire, il y a discussion et c'est intéressant. Ce que je craignais - et ce que suggérais ma remarque -, c'est un débat qui dérive sur du n'importe quoi au motif (prétexte) qu'affirmer que : "on a le droit de disposer de son corps", un point c'est tout, était un propos bien expéditif.
Ceci étant dit, bien sûr que vous pouvez écrire : " je n'ai pas besoin de curés pour venir me pécher, je sais très bien mener ma vie avec mes convictions". Libre à vous, tant que ce forum est pacifique.
Pas besoin de demander la permission sans absolution.
Cet "abus de faiblesse" est bel et bien un viol.
Signaler RépondreQuant au fait qu'elle ait été raccompagnée, il est probable qu'elle n'avait déjà plus assez de lucidité et que le choix
de la faire ramener par "son ami" au casier déjà rempli ait été pris par les amis de la victime.
Si ceux ci connaissaient le passé du violeur, ils ont été sacrément négligeants
Cet age est celui des première cuites. Et il faut bien que jeunesse se fasse, mais ça peut mal tourner quand l'entourage est malsain ou négligent.
J'ai déjà dû gérer une situation similaire, avec une amie dans les vaps et "un ami" douteux qui guettait à côté: il était hors de question d'abandonner la première même si ça a coûté
son temps en surveillance et que ça m'a gaché la fin de soirée. C'est toujours rien à côté de ce que risque une fille inconsciente.
A 32 ans (1 fois et demi l'âge que j'avais alors), le violeur n'a aucune excuse pour son comportement
@Alexandre, je pense que vous vous trompez fortement et que vous retournez totalement la situation.
Signaler RépondreGrâce à vous, cette fille qui fêtait ces 18 ans est la coupable. Pour vous, elle ne peut pas être maîtresse de ses envies et de son corps? Elle n'a donc pas le droit de s'amuser, boire, et même draguer ouvertement si elle le veut?? Elle aura toujours le droit de dire non et les hommes doivent le respecter.
Vous ne vous rendez pas compte que c'est par votre faute que beaucoup de femmes (ou hommes) violé(e)s ne portent pas plainte de peur que personne ne les croient!
Regardez la définition du mot viol dans un dictionnaire et vous verrez que c'est bien un violeur mais pas entre guillemets. Les viols ne se passent pas toujours dans une ruelle sombre avec un inconnu cagoulé ou masqué. Bien souvent cela se passe dans une maison avec comme agresseur, un ami, petit ami ou proche de la victime.
Le violeur n'a sans doute pas eu besoin d'insister car la victime était inconsciente donc non consentante. Le consentement est primordial pour chacun d'entre nous.
Je ne pense pas que si cette histoire arrivait à votre fille, soeur, petite amie ou amie vous lui diriez que c'est de sa faute...
A bon entendeur
Non merci @Mézières, je n'ai pas besoin de curés pour venir me pécher, je sais très bien mener ma vie avec mes convictions.
Eh bien moi je pense que vous avez tout faux : il est bien connu que l'alcool, à fortiori une imprégnation alcoolique sévère altère les facultés de jugement et une augmentation des pulsions libidineuses. La jeune fille savait très bien cela en étant d'abord dans un lieu d'alcoolisation et festif, où la drague est de rigueur, en s'alcoolisant sciemment puis en rentrant seule avec un homme. Compte tenu de ces éléments la notion de viol me paraît fortement exagérée. Le "violeur" présumé n'a pas du insister beaucoup pour parvenir à ses fins. Il ne faut pas non plus tout confondre. Où est la violence ? Il faut aussi prendre ses responsabilités et éduquer ses enfants (18ans) mais majeure sexuelle sur ce qui arrive probablement lorsqu'on se met dans de telles situations. Non ? Ceci n'est pas un viol, tout au plus un abus de faiblesse, et encore...La fille qui va en boite se "pêter" la gueule à 18 ans, seule, et se fait raccompagner par un mec n'est pas non plus une sainte nitouche.
Signaler Répondrece "pavé" est un lanceur de sottises.
Signaler RépondreQui veut le "récupérer" au vol en répondant à l'intéressé de façon argumentée (sans "aller chercher les curés" pour récupérer le pavé, merci pour eux).
Le problème n'est pas de savoir si la jeune fille avait bu ou non, mais bien de se soucier de savoir si elle était consentante ou non. il ne faut se tromper de débat.
Signaler RépondreLes filles comme les garçons doivent pouvoir disposer de leurs corps comme bien leur semble!!
Encore une fois ...voici les bienfaits de boire de l'alcool...elle etait tellement éméchée qu'elle ne savait même pas si elle a rêvé ou elle a juste fait un cauchemar...malheureusement la réalité lui a enlevé les effets de l'alcool...elle se souviendra longtemps de son 18 eme anniversaire...
Signaler RépondreEffectivement, le fait que cet individu soit écroué mérite un article. C'est devenu tellement rare sous ce Régime où les bandes et les diversités ethniques, électorats de gauche, font régner leurs lois que cela méritait bien un article.
Signaler RépondreNéanmoins, merci de rassurer l'électorat de gauche, il ne restera pas trop longtemps écroué, hein ?
violée par un ami pour son anniversaire : avoir un bon copain....
Signaler Répondre