Le quadragénaire s’est jeté du toit depuis le bâtiment où siège la direction de l'entreprise sous-traitante du secteur automobile, spécialisée dans les directions assistées.
Selon la CGT, "il ne s’agit pas d’un accident du travail dans le cadre de ses activités professionnelles sur le site, tout laisse à penser que le quadragénaire s’est suicidé en lien avec sa situation de salarié".
La victime travaillait depuis près d’une vingtaine d’années à JTEKT, et "n’avait pas de problème personnel pouvant le pousser à un tel acte", martèle le syndicat. La CGT qui va plus dans ses accusations : "Les premiers éléments d’information font ressortir qu’Eric connaissait des problèmes importants avec sa hiérarchie et la direction de l’entreprise qui depuis plusieurs mois avait supprimé unilatéralement la prime d’astreinte occasionnant une importante perte de salaire". Un procès aux prud’hommes était en cours, mais selon la CGT, "la direction lui mettait la pression et lui faisait du chantage à l’emploi au point que le salarié pensait qu’il était en situation de pré-licenciement".
Une enquête a été ouverte, tandis que le CHSCT s’est également emparé du dossier. Un rassemblement des salariés aura lieu lundi sur le site de JTEKT à Irigny pour rendre hommage "à leur collègue de travail".
Le problème c'est que le harcèlement n'est pas toujours le fait d'une seule personne, quand vos créanciers/clients mettent la pression sur la direction, qu'il reverse sur les managers, au final c'est celui qui est en bout de chaine qui prend tout le poids de la pression, mais quelques fois le manager veux faire tampon et c'est lui qui saute à cause de cette pression...
Signaler RépondreMoi dans mon ancienne boite, il parait que dans l'une des filiales un mec a tenter de se pendre à son bureau, il a été mis en maladie, resté dans le coma 1 semaine, après avoir forcé l'obtention d'un rendez vous de reprise à la médecine du travail parce que son manager ne voulait pas en prendre, il a dit à la médecine du travail que c'était à cause de son manager, le médecin a appelé le manager, celui-ci a confirmé qu'il le haissait et qu'il était content et qu'il demandait le licenciement pour inaptitude, moi je sais pas, mais en théorie à partir de là il n'y a pas un crime pénale ? Le manager n'a rien, le salarié considéré comme inapte par la médecine à tous postes dans la filiale, le blog du syndicat dit suivre le cas, mais bon que va t'il se passer, il va revenir ? mon oeil oui, voilà le type d'environnement de travail qu'il y'a aujourd'hui et allez retrouver un autre boulot à partir de là, jamais il en retrouvera, il faut des références, là il va passer pour cas social.
Signaler RépondreJe vous comprend , le harcelement au travail est une realiter de plus en plus repandu . Ce monsieur a retourner la violence contre lui . Mais il ne faudrait pas ceder a la tentation des reglements de compte , un emploi ne vaudra jamais la vie d un etre humain.
Signaler RépondreEn effet, que l'enquête commence avant de tirer des conclusions hâtives.... et que M. Collomb s'abstienne de parler comme le fait son "mentor" à l'Elysée : lamentable !
Signaler Répondreon est harcelé au boulot,on ne vaut plus rien,on monte un dossier contre nous quand on veut d"autres conditions de travail ou une mutation,ce qui ne plait pas a la hierarchie qui compte sur nous pour garantir leur propre emploi.Il y en a qui se suicide sous la pression,alors qu'on ferait mieux de suicider les responsables.Si les conflits armés étaient en europe,on pourrait tranquille pépère regler le compte de quelques pourris sans étre inquiétés.ma mère me parlait des règlements de compte pendant la guerre mondiale,periode de chaos.
Signaler RépondreN'importe quoi moi ma CGT se dit clairement en conflit pour protéger les ouvriers contre ma direction................................ et les ETAM soit les secrétaires, les comptables, les commerciaux, les ingénieurs, les informaticiens.....
Signaler RépondreKolombin Non voyons monsieur Collomb n'est élu que si les morts lui rapportais de l'argent sinon a quoi s'émouvoir d'un pauvre monsieur qui a juste craquée sous la pression malheureusement pour lui et surtout sa famille
Signaler RépondreVive la France , et oui ! A force de dire que les syndicats c est de la merde , que les salariés sont des feignasses , que tous les chômeurs l ont choisi ! Voilà le résultat !! Tous les jours, des gens souffrent au travail mais pauvres patrons !!! Le salariat est en crise et aujourd hui , chaque jour nous reculons .... Nous perdons nos acquits !
Signaler RépondreMes condolances pauvre monsieur qui ne voulait que vivre et gagner sa vie en travaillant
Signaler Répondreceux qui le font sont traiter de fous et ne retrouve plus de boulot faute de référence professionnelle à donner.
Signaler RépondreArrêtons de nous tuer au boulot, suicidons notre hiérarchie bornée et stupide, ça sera bien plus efficace.
Signaler RépondreCondoléances à ses proches
M. Collomb sera-t-il aussi ému à ce décès que celui du patron d'Eiffage ?
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