A Givors, il l’avait approché pour la convaincre de venir chez lui. Handicapée mentale, placée en foyer et agressée sexuellement à 13 ans, la victime est très fragile et accepte de suivre son interlocuteur.
Ce dernier l’agressera sexuellement chez lui, l’insultant copieusement au passage. Il dira aux enquêteurs puis au tribunal ne l’avoir jamais forcé à quoi que ce soit.
Si la procureure a requis 2 ans de prison ferme et 10 000 euros de dommages et intérêts ce jeudi au tribunal correctionnel de Lyon, les juges ont été plus sévères : le sexagénaire a écopé de 4 ans de prison dont 2 ans avec sursis et mise à l’épreuve durant 2 ans. Il devra également verser 10 000 euros à sa victime et régler 1000 euros de frais de procédure.
Quand la justice ne fait pas son boulot, il faut le faire soi-même. Comprendra qui pourra.
Signaler RépondreIl n'y a aucun effet dissuasig avec une peine aussi faible, les juges n'ont pas conscience de l'impact psychologique poir la jeune fille...
Signaler RépondreTout simplement honteux !!!!! Pauvre justice â triple vitesse, dans quel pays vivons nous ???
Signaler Répondreles prisons sont pleines,archi pleines,faut construire des prisons,embaucher des fonctionaires pénitentiaire,augmenter les impôts ?
Signaler Répondre2 ans de prison pour le viole d'une enfant de 13 ans!!!
Signaler RépondreMais où vit-on? De quel pays parlons-nous?
Et ça va continuer encore longtemps?
quand on voit que pour des procureurs ou des juges à Lyon, violer des gamines ne vaut pas plus que deux ans de prison ferme, me demande de fait à quoi cela sert de vouloir supprimer les délais de prescriptions. Commençons déjà par condamner plus lourdement les violeurs ; Et si les magistrats ou les juges se demandent pourquoi les français n'ont plus confiance en la justice, qu'ils arrêtent de se poser la question ou plutôt si, qu'ils aillent la poser aux victimes..
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