"Avec sa disparition, Lyon perd une figure de la Résistance", a réagi Georges Képénékian.
A 21 ans, Rolande Becker s’était engagée en 1944 au sein du Réseau Alliance, dirigé par Marie-Madeleine Fourcade. Elle y assura ses premières missions de liaison avec celui qui allait devenir son époux, Roger Becker. Dès lors, son choix était fait ; son engagement, une certitude. Elle fut un agent de liaison précieux.
Commandeur dans l’Ordre national du Mérite, elle avait reçu aussi la Croix du Combattant Volontaire de la Résistance et la Croix du Combattant 39-45.
"Avec tant d’autres, Rolande Becker a démontré que la Résistance n’a pas seulement été une affaire d’hommes", a souligné le maire de Lyon. "Les valeurs d’humanité et de fraternité n’étaient pas de vains mots pour elle. Elles étaient ce pour quoi elle avait risqué sa vie. Je veux rendre hommage à la détermination de cette femme. Son attachement à la dignité de la personne, sa soif de liberté et son courage ont valeur d’exemple. Nous ne l’oublierons pas", a rappelé Georges Képénékian dans un communiqué.
A liberté égalité fraternité Pourquoi voulez vous revenir à cette époque là, où il y avait la guerre, l’occupation les privations. Maintenant c’est bien quand on ne regarde pas trop BFM TV ou RMC. La nostalgie vous fais dire n’importe quoi
Signaler RépondrePaix a cette immenses Dame !!!!!!! Si seulement on pourrait revenir a cette époque où des femmes et hommes extraordinaires on été là pour la liberté au péril de leurs vies bravo a vous Madame Rolande Becker reposer en paix
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