Laissée libre, elle sera prochainement convoquée devant la justice.
Les faits qui lui sont reprochés remontent à vendredi dernier, au sein de l'école Louise-Chassagne de Sainte-Foy-lès-Lyon, où sa fille est scolarisée en maternelle. La mère avait été convoquée par la directrice pour évoquer le comportement problématique de l'enfant, notamment vis-à-vis d'une Atsem. Selon le Progrès, le ton est monté alors que la directrice réclamait des excuses.
La mère a vu rouge et a asséné un coup de tête à la chef d'établissement, lui cassant le nez (21 jours d'ITT).
Sur Facebook, les parents d'élèves réunis dans le groupe Les Amis de Chassagne ont apporté leur soutien à la directrice et ont dénoncé "la violence" de l'agression.
Il faudra peut être parler un jour du "permis d'enfanter" vu les tarés qui gangrènent les générations futures par leurs violence, leurs problèmes.
Signaler RépondreOui vous avez raison: Nordalh Lelandais est toujours présumé innocent...
Signaler RépondreSans doute voulait-elle faire comprendre à la directrice que si sa fille est ingérable, c'est parce qu'elle est surdouée...
Signaler RépondreC'est systématique maintenant, dès qu'un enfant est turbulent ou agressif, les parents pensent qu'il s'agit d'un nouvel Einstein.
Un coup de tête ? Tiens comme au football !
Signaler RépondreRas-le-bol de ces parents qui ne font pas le minimum syndical d'éducation auprès de leurs propres enfants et qui veulent les excuser au prétexte que le temps qui leur consacre est de plus en plus réduit.
Signaler RépondreRas-le-bol de ces parents qui veulent faire la loi à l'école et se prennent pour ce qu'ils ne sont pas.
Que chacun fasse son boulot et que la notion de "communauté éducative" ne soit pas un prétexte pour que les parents se croient tout permis à l'école.
yark yark
Signaler RépondreComment il y aurait des parents violents?
Mias enfain" mme , ma fille est un ange, elle est pas méchante c'est de votre faute"
pauvre France, où es-tu en train de tomber.
Allez hop, justice exemplaire ; prison + fin des alloc+ retour au pays
Ou peut-être que la loi protège les personnes qui restent présumées innocentes jusqu'à ce qu'elles soient condamnées. Et que LyonMag, comme le reste de la presse française, ferait face à des poursuites s'il donnait son nom.
Signaler RépondreComme d'habitude, la censure est de retour avec l'absence du nom de l'auteure des faits... Mais je pense que tous les lecteurs ont compris!
Signaler Répondreun enfant violent.... ne cherchons pas loin, c est l éducation... les faits parlent d eux même!
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