Aulas Pour l'amour de Dieu ! tiens au fait Doucet etait dans l'eglise de Fontaine pour les obseques de B.Lacombe. Étrange pour lui qui ne vient pas Fourvière sous pretext de la loi de 1905 ... période pré-electorale sans doute, il faut se montrer ,se rapprocher des lyonnais . Quel combinard
et on nous parle de démocratie ? on est idiot, mais quand même .... le 19/07/2025 à 15:38
GARBO a écrit le 16/07/2025 à 20h53
et si il y a des recettes et des dépenses c'est le b à ba de la gestion et là Aulas est très fort !
ah bon ? c'est vrai qu'à la façon AULAS, c'est dépenses pour les contribuables et recettes en direction du Delaware (paradis fiscal US où la famille AULAS a créé un business de location de jets) avec le fruit de la vente (de fait) de son stade privé, dont les voies d'accès (réservées à son business, c'est à dire aux seules dates d'évènements) ont été par les par les contribuables lyonnais, mais bien présentes dans le deal de vente, sans retour sur investissements des lyonnais (un stade qui n'a pas d'accès ne vaut rien jusqu'à nouvel ordre, c'est bien pour cela que GERLAND était l'idéal, accessible par son moyen "lourd" existant de transports en commun : un métro, qui ne nécessitait que quelques aménagements de quais (comme le stade de Munich, lequel d'ailleurs, a fait l'objet d'une référendum populaire, contrairement à celui de Décines dont les élus (copains du COLON) ont refusé la tenue
Tout est vérifiable, il suffit de poser des questions aux organismes officiels, ce que la presse manstream (popumaire)- qui a choisi son camp d'intérêt tout à fait personne - évite allègrement de faire.
LYONMAG vous en êtes où sur le sujet ? voyons voir s'ils publient ce post, et si ce n'est le cas, j'en cause de ce pas sur les réseaux sociaux pour avoir une réponse à cette même question
Une élection a mi mandat, ça évitera de se coltiner pendant 6 ans des élus dogmatiques, qui ruinent une ville, qui dépense sans compter non pas pour L’ENSEMBLE des français mais pour Sa catégorie uniquement. Les maires écolos ne sont les maires que des écolos les autres peuvent aller au diable.
se rapproche des législatives.
Résultat : bonne participation , il n 'y avait pas de covid . Carton plein pour les quatre soutenus par la mairie .
Celui qui va avoir le carton rouge , c 'est le Aulas , les 500 m de tramway pour rejoindre son entreprise privée payé par la collectivité c 'est pas 1,6 million
c'est 70 millions
Si il se présentait , Meunier et Tête seront lui rappeler et là ....
" Reconduire la liste de Grégory Doucet, c’est faire le choix d’une ville qui protège les plus vulnérables "
( les sdf ont-ils disparu ? )
" qui lutte contre les violences sexistes et sexuelles, "
( plus de féminicides ? Les femmes se promènent-elles tranquillement ? La maire du 7ème arpente-t-elle son arrondissement sans crainte ? )
" qui met l’égalité et la justice sociale au cœur de ses décisions. "
( les critairs en sont un exemple flagrant ...."
Ce ne sont que quelques perles qui montrent combien , une fois de plus , votre discours servile est incohérent , soporifique et verbeux.
abonnement mensuel TCL à 105 euros l'année pour les moins riches
Bibliothèque et carte culture gratuite de même
Aide pour moins de 25 ans qui n 'ont pas papa-maman derriere.
Violence sexistes et sexuelles , je suis un mec,les messages un peu trop pro femmes de la mairie me lassent parfois , mais l 'on ne peut pas dire qu 'ils n 'en font pas assez , rien que par leur liste chabada bada , un homme une femme alors que la droite c 'était un candidat , une suppléante , comme disait Bernard .
Et voilà qu’après avoir transformé l’Olympique Lyonnais en entreprise cotée et ruiné les supporters petits actionnaires, Jean-Michel Aulas rêve maintenant de transformer Lyon… en stade privé.
Sa candidature n’est pas un projet politique, c’est un plan marketing. Ce n’est pas une vision, c’est une reconversion de patron. Après avoir fait du football un produit financier, le voilà qui s’imagine maire. Mais une ville, M. Aulas, ça ne se gère pas comme un club de Ligue 1. Ce n’est pas une marque. Ce n’est pas un actionnariat. C’est une communauté humaine.
Lyon n’a pas besoin d’un manager en costume trois pièces qui confond béton et ambition. Ce qu’il propose, c’est le retour d’un modèle autoritaire, masculin, vertical. Le vieux monde avec ses vieilles recettes : compétitivité, attractivité, croissance. Et derrière les discours sur le rayonnement international, ce qu’il nous prépare, c’est plus de spéculation immobilière, plus de privatisation des espaces publics, et un recul net des politiques sociales et écologiques.
Jean-Michel Aulas, c’est la candidature de l’entre-soi, des conseils d’administration, du pouvoir d’influence. C’est la revanche des lobbies et des notables sur l’écologie populaire. C’est le come-back du tout-voiture, du béton roi, du greenwashing corporate.
Mais Lyon n’est pas à vendre. Lyon n’est pas un club. Lyon est une ville vivante, plurielle, diverse, qui mérite mieux qu’un projet de communication.
Aulas maire ? C’est non. Parce qu’on ne sauvera pas la planète avec ceux qui l’ont mise à genoux. Parce qu’il est temps d’en finir avec les logiques de pouvoir masculin et dominant qui confisquent la parole politique. Parce que la mairie n’est pas une tribune VIP. C’est un lieu de lutte, de soin, de transformation.
Ce que nous vivons à Lyon, c’est plus qu’une gestion municipale : c’est une bifurcation. Une bifurcation vers une ville respirable, juste, solidaire. Et cette bifurcation, elle est incarnée par Grégory Doucet et son équipe écologiste. Il ne s’agit pas d’un verdissement superficiel. Il s’agit d’un choix radical : remettre la vie au cœur des politiques publiques. Choisir le vivant plutôt que le béton. Le soin plutôt que la rentabilité. Le long terme plutôt que l’immédiateté productiviste.
Face aux dérèglements climatiques, aux inégalités sociales qui explosent et à l’épuisement du vivant, il n’y a plus de temps pour les demi-mesures. L’écologie ne peut plus être une option. Elle est la condition de notre survie collective. Et à Lyon, cette écologie-là, elle est mise en œuvre, concrètement, chaque jour, par cette municipalité.
Alors oui, reconduire la liste de Grégory Doucet, c’est faire le choix d’une ville qui protège les plus vulnérables, qui lutte contre les violences sexistes et sexuelles, qui met l’égalité et la justice sociale au cœur de ses décisions. C’est reconnaître que l’écologie est féministe, antiraciste, décoloniale, et profondément démocratique.
Ne laissons pas revenir celles et ceux qui veulent faire de Lyon une vitrine du capitalisme urbain, où l’espace public est accaparé par la voiture, où les loyers explosent, où l’on bétonne les dernières parcelles de nature au nom de la croissance. Ce modèle est mort. Ce modèle détruit.
Ce que défend Doucet, c’est une écologie de rupture. Et c’est cette rupture qu’il nous faut prolonger. Parce qu’il ne s’agit plus d’accompagner le monde tel qu’il est. Il s’agit de le transformer. Radicalement. Et cela commence ici, à Lyon.
" Reconduire la liste de Grégory Doucet, c’est faire le choix d’une ville qui protège les plus vulnérables "
( les sdf ont-ils disparu ? )
" qui lutte contre les violences sexistes et sexuelles, "
( plus de féminicides ? Les femmes se promènent-elles tranquillement ? La maire du 7ème arpente-t-elle son arrondissement sans crainte ? )
" qui met l’égalité et la justice sociale au cœur de ses décisions. "
( les critairs en sont un exemple flagrant ...."
Ce ne sont que quelques perles qui montrent combien , une fois de plus , votre discours servile est incohérent , soporifique et verbeux.
Aulas Pour l'amour de Dieu ! tiens au fait Doucet etait dans l'eglise de Fontaine pour les obseques de B.Lacombe. Étrange pour lui qui ne vient pas Fourvière sous pretext de la loi de 1905 ... période pré-electorale sans doute, il faut se montrer ,se rapprocher des lyonnais . Quel combinard
assister à des obsèques c'est être respectueux des morts.
Venir faire la cérémonie des Echevins, c'est être soumis à une religion.
Mettez plutôt une personne aléatoire de la classe moyenne du peuple à la place.
Essayons de mettre une autre classe sociale au pouvoir plutôt que de réessayer à chaque mandat quelque-chose qui ne fonctionne pas bien.
Aulas Pour l'amour de Dieu ! tiens au fait Doucet etait dans l'eglise de Fontaine pour les obseques de B.Lacombe. Étrange pour lui qui ne vient pas Fourvière sous pretext de la loi de 1905 ... période pré-electorale sans doute, il faut se montrer ,se rapprocher des lyonnais . Quel combinard
Ton discours écolo sectaire, nous n'en voulons plus et tous les Lyonnais en ont marre et n'en peuvent plus. Que ce soit Aulas ou un autre, tant que ce n'est pas vous et que Lyon redevienne plus attractif, plus sécuritaire, il ne sera pas élu Doucet tout Lyon et ses alentours Ils n'en veulent pas compte tenu du désastre que lui et ses équipes, ainsi que Bruno Bernard pour leur propre bénéfice, ont causé à Lyon. Ouuuusttttt et bon débarras. Il faudra du temps pour qu'on puisse se remettre, mais tant pis. Lyon sera de nouveau la capitale des Gaulles
Et voilà qu’après avoir transformé l’Olympique Lyonnais en entreprise cotée et ruiné les supporters petits actionnaires, Jean-Michel Aulas rêve maintenant de transformer Lyon… en stade privé.
Sa candidature n’est pas un projet politique, c’est un plan marketing. Ce n’est pas une vision, c’est une reconversion de patron. Après avoir fait du football un produit financier, le voilà qui s’imagine maire. Mais une ville, M. Aulas, ça ne se gère pas comme un club de Ligue 1. Ce n’est pas une marque. Ce n’est pas un actionnariat. C’est une communauté humaine.
Lyon n’a pas besoin d’un manager en costume trois pièces qui confond béton et ambition. Ce qu’il propose, c’est le retour d’un modèle autoritaire, masculin, vertical. Le vieux monde avec ses vieilles recettes : compétitivité, attractivité, croissance. Et derrière les discours sur le rayonnement international, ce qu’il nous prépare, c’est plus de spéculation immobilière, plus de privatisation des espaces publics, et un recul net des politiques sociales et écologiques.
Jean-Michel Aulas, c’est la candidature de l’entre-soi, des conseils d’administration, du pouvoir d’influence. C’est la revanche des lobbies et des notables sur l’écologie populaire. C’est le come-back du tout-voiture, du béton roi, du greenwashing corporate.
Mais Lyon n’est pas à vendre. Lyon n’est pas un club. Lyon est une ville vivante, plurielle, diverse, qui mérite mieux qu’un projet de communication.
Aulas maire ? C’est non. Parce qu’on ne sauvera pas la planète avec ceux qui l’ont mise à genoux. Parce qu’il est temps d’en finir avec les logiques de pouvoir masculin et dominant qui confisquent la parole politique. Parce que la mairie n’est pas une tribune VIP. C’est un lieu de lutte, de soin, de transformation.
Ce que nous vivons à Lyon, c’est plus qu’une gestion municipale : c’est une bifurcation. Une bifurcation vers une ville respirable, juste, solidaire. Et cette bifurcation, elle est incarnée par Grégory Doucet et son équipe écologiste. Il ne s’agit pas d’un verdissement superficiel. Il s’agit d’un choix radical : remettre la vie au cœur des politiques publiques. Choisir le vivant plutôt que le béton. Le soin plutôt que la rentabilité. Le long terme plutôt que l’immédiateté productiviste.
Face aux dérèglements climatiques, aux inégalités sociales qui explosent et à l’épuisement du vivant, il n’y a plus de temps pour les demi-mesures. L’écologie ne peut plus être une option. Elle est la condition de notre survie collective. Et à Lyon, cette écologie-là, elle est mise en œuvre, concrètement, chaque jour, par cette municipalité.
Alors oui, reconduire la liste de Grégory Doucet, c’est faire le choix d’une ville qui protège les plus vulnérables, qui lutte contre les violences sexistes et sexuelles, qui met l’égalité et la justice sociale au cœur de ses décisions. C’est reconnaître que l’écologie est féministe, antiraciste, décoloniale, et profondément démocratique.
Ne laissons pas revenir celles et ceux qui veulent faire de Lyon une vitrine du capitalisme urbain, où l’espace public est accaparé par la voiture, où les loyers explosent, où l’on bétonne les dernières parcelles de nature au nom de la croissance. Ce modèle est mort. Ce modèle détruit.
Ce que défend Doucet, c’est une écologie de rupture. Et c’est cette rupture qu’il nous faut prolonger. Parce qu’il ne s’agit plus d’accompagner le monde tel qu’il est. Il s’agit de le transformer. Radicalement. Et cela commence ici, à Lyon.
Ton discours écolo sectaire, nous n'en voulons plus et tous les Lyonnais en ont marre et n'en peuvent plus. Que ce soit Aulas ou un autre, tant que ce n'est pas vous et que Lyon redevienne plus attractif, plus sécuritaire, il ne sera pas élu Doucet tout Lyon et ses alentours Ils n'en veulent pas compte tenu du désastre que lui et ses équipes, ainsi que Bruno Bernard pour leur propre bénéfice, ont causé à Lyon. Ouuuusttttt et bon débarras. Il faudra du temps pour qu'on puisse se remettre, mais tant pis. Lyon sera de nouveau la capitale des Gaulles
C 'est vrai qu 'il est bizarre le 15/07/2025 à 23:54
CRousso a écrit le 15/07/2025 à 13h59
Et voilà qu’après avoir transformé l’Olympique Lyonnais en entreprise cotée et ruiné les supporters petits actionnaires, Jean-Michel Aulas rêve maintenant de transformer Lyon… en stade privé.
Sa candidature n’est pas un projet politique, c’est un plan marketing. Ce n’est pas une vision, c’est une reconversion de patron. Après avoir fait du football un produit financier, le voilà qui s’imagine maire. Mais une ville, M. Aulas, ça ne se gère pas comme un club de Ligue 1. Ce n’est pas une marque. Ce n’est pas un actionnariat. C’est une communauté humaine.
Lyon n’a pas besoin d’un manager en costume trois pièces qui confond béton et ambition. Ce qu’il propose, c’est le retour d’un modèle autoritaire, masculin, vertical. Le vieux monde avec ses vieilles recettes : compétitivité, attractivité, croissance. Et derrière les discours sur le rayonnement international, ce qu’il nous prépare, c’est plus de spéculation immobilière, plus de privatisation des espaces publics, et un recul net des politiques sociales et écologiques.
Jean-Michel Aulas, c’est la candidature de l’entre-soi, des conseils d’administration, du pouvoir d’influence. C’est la revanche des lobbies et des notables sur l’écologie populaire. C’est le come-back du tout-voiture, du béton roi, du greenwashing corporate.
Mais Lyon n’est pas à vendre. Lyon n’est pas un club. Lyon est une ville vivante, plurielle, diverse, qui mérite mieux qu’un projet de communication.
Aulas maire ? C’est non. Parce qu’on ne sauvera pas la planète avec ceux qui l’ont mise à genoux. Parce qu’il est temps d’en finir avec les logiques de pouvoir masculin et dominant qui confisquent la parole politique. Parce que la mairie n’est pas une tribune VIP. C’est un lieu de lutte, de soin, de transformation.
Ce que nous vivons à Lyon, c’est plus qu’une gestion municipale : c’est une bifurcation. Une bifurcation vers une ville respirable, juste, solidaire. Et cette bifurcation, elle est incarnée par Grégory Doucet et son équipe écologiste. Il ne s’agit pas d’un verdissement superficiel. Il s’agit d’un choix radical : remettre la vie au cœur des politiques publiques. Choisir le vivant plutôt que le béton. Le soin plutôt que la rentabilité. Le long terme plutôt que l’immédiateté productiviste.
Face aux dérèglements climatiques, aux inégalités sociales qui explosent et à l’épuisement du vivant, il n’y a plus de temps pour les demi-mesures. L’écologie ne peut plus être une option. Elle est la condition de notre survie collective. Et à Lyon, cette écologie-là, elle est mise en œuvre, concrètement, chaque jour, par cette municipalité.
Alors oui, reconduire la liste de Grégory Doucet, c’est faire le choix d’une ville qui protège les plus vulnérables, qui lutte contre les violences sexistes et sexuelles, qui met l’égalité et la justice sociale au cœur de ses décisions. C’est reconnaître que l’écologie est féministe, antiraciste, décoloniale, et profondément démocratique.
Ne laissons pas revenir celles et ceux qui veulent faire de Lyon une vitrine du capitalisme urbain, où l’espace public est accaparé par la voiture, où les loyers explosent, où l’on bétonne les dernières parcelles de nature au nom de la croissance. Ce modèle est mort. Ce modèle détruit.
Ce que défend Doucet, c’est une écologie de rupture. Et c’est cette rupture qu’il nous faut prolonger. Parce qu’il ne s’agit plus d’accompagner le monde tel qu’il est. Il s’agit de le transformer. Radicalement. Et cela commence ici, à Lyon.
Il fait un peu des sauts de cabri :
une fois pour les transports gratuits pour beaucoup , comme un LFI .
une autre fois pour plus d'écologie du fond du quatre -quatre qu 'on lui prête .
Je me suis laissé dire qu 'il avait racheté des terrains agricoles pour en faire un stade tout ce qu 'il y a de minéral mais plus écologique que lui , tu meurs .
D ' ici que Tête sorte de sa retraite pour lui faire le coup du Million.
En tout cas merci pour ces commentaires qui vpnt faire rager tous les vieux réacs qui sévissent parmi les commentateurs de LM ,
Et voilà qu’après avoir transformé l’Olympique Lyonnais en entreprise cotée et ruiné les supporters petits actionnaires, Jean-Michel Aulas rêve maintenant de transformer Lyon… en stade privé.
Sa candidature n’est pas un projet politique, c’est un plan marketing. Ce n’est pas une vision, c’est une reconversion de patron. Après avoir fait du football un produit financier, le voilà qui s’imagine maire. Mais une ville, M. Aulas, ça ne se gère pas comme un club de Ligue 1. Ce n’est pas une marque. Ce n’est pas un actionnariat. C’est une communauté humaine.
Lyon n’a pas besoin d’un manager en costume trois pièces qui confond béton et ambition. Ce qu’il propose, c’est le retour d’un modèle autoritaire, masculin, vertical. Le vieux monde avec ses vieilles recettes : compétitivité, attractivité, croissance. Et derrière les discours sur le rayonnement international, ce qu’il nous prépare, c’est plus de spéculation immobilière, plus de privatisation des espaces publics, et un recul net des politiques sociales et écologiques.
Jean-Michel Aulas, c’est la candidature de l’entre-soi, des conseils d’administration, du pouvoir d’influence. C’est la revanche des lobbies et des notables sur l’écologie populaire. C’est le come-back du tout-voiture, du béton roi, du greenwashing corporate.
Mais Lyon n’est pas à vendre. Lyon n’est pas un club. Lyon est une ville vivante, plurielle, diverse, qui mérite mieux qu’un projet de communication.
Aulas maire ? C’est non. Parce qu’on ne sauvera pas la planète avec ceux qui l’ont mise à genoux. Parce qu’il est temps d’en finir avec les logiques de pouvoir masculin et dominant qui confisquent la parole politique. Parce que la mairie n’est pas une tribune VIP. C’est un lieu de lutte, de soin, de transformation.
Ce que nous vivons à Lyon, c’est plus qu’une gestion municipale : c’est une bifurcation. Une bifurcation vers une ville respirable, juste, solidaire. Et cette bifurcation, elle est incarnée par Grégory Doucet et son équipe écologiste. Il ne s’agit pas d’un verdissement superficiel. Il s’agit d’un choix radical : remettre la vie au cœur des politiques publiques. Choisir le vivant plutôt que le béton. Le soin plutôt que la rentabilité. Le long terme plutôt que l’immédiateté productiviste.
Face aux dérèglements climatiques, aux inégalités sociales qui explosent et à l’épuisement du vivant, il n’y a plus de temps pour les demi-mesures. L’écologie ne peut plus être une option. Elle est la condition de notre survie collective. Et à Lyon, cette écologie-là, elle est mise en œuvre, concrètement, chaque jour, par cette municipalité.
Alors oui, reconduire la liste de Grégory Doucet, c’est faire le choix d’une ville qui protège les plus vulnérables, qui lutte contre les violences sexistes et sexuelles, qui met l’égalité et la justice sociale au cœur de ses décisions. C’est reconnaître que l’écologie est féministe, antiraciste, décoloniale, et profondément démocratique.
Ne laissons pas revenir celles et ceux qui veulent faire de Lyon une vitrine du capitalisme urbain, où l’espace public est accaparé par la voiture, où les loyers explosent, où l’on bétonne les dernières parcelles de nature au nom de la croissance. Ce modèle est mort. Ce modèle détruit.
Ce que défend Doucet, c’est une écologie de rupture. Et c’est cette rupture qu’il nous faut prolonger. Parce qu’il ne s’agit plus d’accompagner le monde tel qu’il est. Il s’agit de le transformer. Radicalement. Et cela commence ici, à Lyon.
Il faut surtout mettre en place des lois qui permettent de virer un maire ou un président de la république immédiatement lorsque la majorité des citoyens jugent qu'il est incompétent.
Une élection a mi mandat, ça évitera de se coltiner pendant 6 ans des élus dogmatiques, qui ruinent une ville, qui dépense sans compter non pas pour L’ENSEMBLE des français mais pour Sa catégorie uniquement. Les maires écolos ne sont les maires que des écolos les autres peuvent aller au diable.
Il faut surtout mettre en place des lois qui permettent de virer un maire ou un président de la république immédiatement lorsque la majorité des citoyens jugent qu'il est incompétent.
Du moment que la clique EELV-LFI dégage, c'est le principal.
Il faut surtout mettre en place des lois qui permettent de virer un maire ou un président de la république immédiatement lorsque la majorité des citoyens jugent qu'il est incompétent.
Cela reviendrait à faire des élections permanentes...
Il faut surtout mettre en place des lois qui permettent de virer un maire ou un président de la république immédiatement lorsque la majorité des citoyens jugent qu'il est incompétent.
L’élection n’est pas une question de chance.
La loi PLM est une escroquerie qui détourne le vote des citoyens au profit des élus en place.
Cette loi PLM a été créé par Defferre en 1982 pour conserver la Mairie de Marseille.
La question est : faut-il à LYON conserver les 9 arrondissements dans leur fonctionnement actuel, avec 9 Maires, 80 Adjoints, etc… ce qui coute plus de 2 MILLIONS d’Euros par an.
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n 'a jamais aussi grande . Tu rêves ?
Signaler RépondreNous sommes 100 000 abonnés à velov + tous ceux qui ont le leur propre .
La bataille est déjà gagnée .
A Lyon , à vélo , on dépasse les tut tut !
Le vélo n'a plus sa place dans Lyon...
Signaler Répondreregarde les résultats.
Signaler RépondreLes jeunes entraineront les autres , comme d 'hab .. et en vélo s 'il te plait .
Les gens en ont tellement ras le bol des bobos verts qu'Aulas sera Maire de lyon quel que soit le mode de scrutin
Signaler RépondreTSD Tout sauf Doucet !
Signaler Répondreah bon ? c'est vrai qu'à la façon AULAS, c'est dépenses pour les contribuables et recettes en direction du Delaware (paradis fiscal US où la famille AULAS a créé un business de location de jets) avec le fruit de la vente (de fait) de son stade privé, dont les voies d'accès (réservées à son business, c'est à dire aux seules dates d'évènements) ont été par les par les contribuables lyonnais, mais bien présentes dans le deal de vente, sans retour sur investissements des lyonnais (un stade qui n'a pas d'accès ne vaut rien jusqu'à nouvel ordre, c'est bien pour cela que GERLAND était l'idéal, accessible par son moyen "lourd" existant de transports en commun : un métro, qui ne nécessitait que quelques aménagements de quais (comme le stade de Munich, lequel d'ailleurs, a fait l'objet d'une référendum populaire, contrairement à celui de Décines dont les élus (copains du COLON) ont refusé la tenue
Signaler RépondreTout est vérifiable, il suffit de poser des questions aux organismes officiels, ce que la presse manstream (popumaire)- qui a choisi son camp d'intérêt tout à fait personne - évite allègrement de faire.
LYONMAG vous en êtes où sur le sujet ? voyons voir s'ils publient ce post, et si ce n'est le cas, j'en cause de ce pas sur les réseaux sociaux pour avoir une réponse à cette même question
se rapproche des législatives.
Signaler RépondreRésultat : bonne participation , il n 'y avait pas de covid . Carton plein pour les quatre soutenus par la mairie .
Celui qui va avoir le carton rouge , c 'est le Aulas , les 500 m de tramway pour rejoindre son entreprise privée payé par la collectivité c 'est pas 1,6 million
c'est 70 millions
Si il se présentait , Meunier et Tête seront lui rappeler et là ....
;
C 'est plutôt chrétiens de gauche que musulmans qu 'ils sont , quand ils ont une religion.
Signaler RépondreUn anti intégriste quelque soit la religion , athée personnellement comme la majorité de la population .
Laïcité très variable chez ce bonhomme puisqu’il refuse d’entrer à Fourviere mais n’à aucune honte à entrer dans une mosquée ....Expliquez moi......
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Signaler RépondreBibliothèque et carte culture gratuite de même
Aide pour moins de 25 ans qui n 'ont pas papa-maman derriere.
Violence sexistes et sexuelles , je suis un mec,les messages un peu trop pro femmes de la mairie me lassent parfois , mais l 'on ne peut pas dire qu 'ils n 'en font pas assez , rien que par leur liste chabada bada , un homme une femme alors que la droite c 'était un candidat , une suppléante , comme disait Bernard .
" Reconduire la liste de Grégory Doucet, c’est faire le choix d’une ville qui protège les plus vulnérables "
Signaler Répondre( les sdf ont-ils disparu ? )
" qui lutte contre les violences sexistes et sexuelles, "
( plus de féminicides ? Les femmes se promènent-elles tranquillement ? La maire du 7ème arpente-t-elle son arrondissement sans crainte ? )
" qui met l’égalité et la justice sociale au cœur de ses décisions. "
( les critairs en sont un exemple flagrant ...."
Ce ne sont que quelques perles qui montrent combien , une fois de plus , votre discours servile est incohérent , soporifique et verbeux.
assister à des obsèques c'est être respectueux des morts.
Signaler RépondreVenir faire la cérémonie des Echevins, c'est être soumis à une religion.
Ca y est, t'as compris le concept de laïcité ?
Aucun des 2 n'est préférable...
Signaler RépondreMettez plutôt une personne aléatoire de la classe moyenne du peuple à la place.
Essayons de mettre une autre classe sociale au pouvoir plutôt que de réessayer à chaque mandat quelque-chose qui ne fonctionne pas bien.
Je ne voterai jamais pour les khmers, si fier d"eux, si fats. Une ville n'est pas une ONG politique !
Signaler RépondreAulas Pour l'amour de Dieu ! tiens au fait Doucet etait dans l'eglise de Fontaine pour les obseques de B.Lacombe. Étrange pour lui qui ne vient pas Fourvière sous pretext de la loi de 1905 ... période pré-electorale sans doute, il faut se montrer ,se rapprocher des lyonnais . Quel combinard
Signaler Répondreet si il y a des recettes et des dépenses c'est le b à ba de la gestion et là Aulas est très fort !
Signaler RépondreJe ne voterai jamais pour ce monsieur si fier de loi, si fat. Une ville n'est pas une entreprise.
Signaler RépondreIl peut proposer ce qu'il veut je voterai quand même pour lui, juste pour ne plus voir les dictateurs verts
Signaler RépondreBah oui puisque c'est un peu fait pour ça.. ˆˆ
Signaler RépondreDoucet 👍
Signaler RépondreAulas 👎
Ton discours écolo sectaire, nous n'en voulons plus et tous les Lyonnais en ont marre et n'en peuvent plus. Que ce soit Aulas ou un autre, tant que ce n'est pas vous et que Lyon redevienne plus attractif, plus sécuritaire, il ne sera pas élu Doucet tout Lyon et ses alentours Ils n'en veulent pas compte tenu du désastre que lui et ses équipes, ainsi que Bruno Bernard pour leur propre bénéfice, ont causé à Lyon. Ouuuusttttt et bon débarras. Il faudra du temps pour qu'on puisse se remettre, mais tant pis. Lyon sera de nouveau la capitale des Gaulles
Signaler RépondreIl fait un peu des sauts de cabri :
Signaler Répondreune fois pour les transports gratuits pour beaucoup , comme un LFI .
une autre fois pour plus d'écologie du fond du quatre -quatre qu 'on lui prête .
Je me suis laissé dire qu 'il avait racheté des terrains agricoles pour en faire un stade tout ce qu 'il y a de minéral mais plus écologique que lui , tu meurs .
D ' ici que Tête sorte de sa retraite pour lui faire le coup du Million.
En tout cas merci pour ces commentaires qui vpnt faire rager tous les vieux réacs qui sévissent parmi les commentateurs de LM ,
Il n'a pas envie de présenter sa candidature
Signaler RépondreDe fait, n'étant pas candidat il n'a aucune chance de l'emporter
Et voilà qu’après avoir transformé l’Olympique Lyonnais en entreprise cotée et ruiné les supporters petits actionnaires, Jean-Michel Aulas rêve maintenant de transformer Lyon… en stade privé.
Signaler RépondreSa candidature n’est pas un projet politique, c’est un plan marketing. Ce n’est pas une vision, c’est une reconversion de patron. Après avoir fait du football un produit financier, le voilà qui s’imagine maire. Mais une ville, M. Aulas, ça ne se gère pas comme un club de Ligue 1. Ce n’est pas une marque. Ce n’est pas un actionnariat. C’est une communauté humaine.
Lyon n’a pas besoin d’un manager en costume trois pièces qui confond béton et ambition. Ce qu’il propose, c’est le retour d’un modèle autoritaire, masculin, vertical. Le vieux monde avec ses vieilles recettes : compétitivité, attractivité, croissance. Et derrière les discours sur le rayonnement international, ce qu’il nous prépare, c’est plus de spéculation immobilière, plus de privatisation des espaces publics, et un recul net des politiques sociales et écologiques.
Jean-Michel Aulas, c’est la candidature de l’entre-soi, des conseils d’administration, du pouvoir d’influence. C’est la revanche des lobbies et des notables sur l’écologie populaire. C’est le come-back du tout-voiture, du béton roi, du greenwashing corporate.
Mais Lyon n’est pas à vendre. Lyon n’est pas un club. Lyon est une ville vivante, plurielle, diverse, qui mérite mieux qu’un projet de communication.
Aulas maire ? C’est non. Parce qu’on ne sauvera pas la planète avec ceux qui l’ont mise à genoux. Parce qu’il est temps d’en finir avec les logiques de pouvoir masculin et dominant qui confisquent la parole politique. Parce que la mairie n’est pas une tribune VIP. C’est un lieu de lutte, de soin, de transformation.
Ce que nous vivons à Lyon, c’est plus qu’une gestion municipale : c’est une bifurcation. Une bifurcation vers une ville respirable, juste, solidaire. Et cette bifurcation, elle est incarnée par Grégory Doucet et son équipe écologiste. Il ne s’agit pas d’un verdissement superficiel. Il s’agit d’un choix radical : remettre la vie au cœur des politiques publiques. Choisir le vivant plutôt que le béton. Le soin plutôt que la rentabilité. Le long terme plutôt que l’immédiateté productiviste.
Face aux dérèglements climatiques, aux inégalités sociales qui explosent et à l’épuisement du vivant, il n’y a plus de temps pour les demi-mesures. L’écologie ne peut plus être une option. Elle est la condition de notre survie collective. Et à Lyon, cette écologie-là, elle est mise en œuvre, concrètement, chaque jour, par cette municipalité.
Alors oui, reconduire la liste de Grégory Doucet, c’est faire le choix d’une ville qui protège les plus vulnérables, qui lutte contre les violences sexistes et sexuelles, qui met l’égalité et la justice sociale au cœur de ses décisions. C’est reconnaître que l’écologie est féministe, antiraciste, décoloniale, et profondément démocratique.
Ne laissons pas revenir celles et ceux qui veulent faire de Lyon une vitrine du capitalisme urbain, où l’espace public est accaparé par la voiture, où les loyers explosent, où l’on bétonne les dernières parcelles de nature au nom de la croissance. Ce modèle est mort. Ce modèle détruit.
Ce que défend Doucet, c’est une écologie de rupture. Et c’est cette rupture qu’il nous faut prolonger. Parce qu’il ne s’agit plus d’accompagner le monde tel qu’il est. Il s’agit de le transformer. Radicalement. Et cela commence ici, à Lyon.
Une élection a mi mandat, ça évitera de se coltiner pendant 6 ans des élus dogmatiques, qui ruinent une ville, qui dépense sans compter non pas pour L’ENSEMBLE des français mais pour Sa catégorie uniquement. Les maires écolos ne sont les maires que des écolos les autres peuvent aller au diable.
Signaler RépondreC'est l'heure du grand ménage avec le RN en 2026, y vont avoir du boulot dans Lyon...
Signaler RépondreDu moment que la secte verte qui nous impose son mépris et son sectarisme depuis 5 ans dégage en 2026, le reste...
Signaler RépondreDu moment que la clique EELV-LFI dégage, c'est le principal.
Signaler RépondreCela reviendrait à faire des élections permanentes...
Signaler RépondreIl faut surtout mettre en place des lois qui permettent de virer un maire ou un président de la république immédiatement lorsque la majorité des citoyens jugent qu'il est incompétent.
Signaler RépondrePas plus que le Covid en 2020 d'après les supporters écolos.
Signaler RépondreL’élection n’est pas une question de chance.
Signaler RépondreLa loi PLM est une escroquerie qui détourne le vote des citoyens au profit des élus en place.
Cette loi PLM a été créé par Defferre en 1982 pour conserver la Mairie de Marseille.
La question est : faut-il à LYON conserver les 9 arrondissements dans leur fonctionnement actuel, avec 9 Maires, 80 Adjoints, etc… ce qui coute plus de 2 MILLIONS d’Euros par an.